Christophe Pieri a été acquitté dans l'affaire de l'assassinat de Christophe Garelli, un militant d'une organisation nationaliste rivale abattu lors d'une fête du village de Lucciana en . Il ne s'était pas rendu à l'audience.
Racket du BTP corse
Le , Christophe Pieri a été interpellé sur une route de Morta (Haute-Corse) par le service régional de police judiciaire de Corse, épaulés par les policiers du RAID, sur commission rogatoire du juge anti-terroriste parisien Gilbert Thiel. Il est soupçonné d'avoir été mêlé à des rackets d'entreprises du BTP. Ces opérations qui auraient pu servir à financer la cause nationaliste.
Sept autres proches de Charles Pieri ont été interpellées dans le cadre d'une enquête ouverte le pour « tentative d'extorsion de fonds sur des chefs d'entreprise, extorsion de fonds et association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».
En 2013 il est condamné à deux ans de prison ferme pour acquisition et détention illicite d'arme de poing[1].
Notes et références
Le fils de Charles Pieri rejugé en appel, Le Figaro,