De 1986 à 1989 après un passage chez Thomson-CSF, puis à Valeo où il se consacre tour à tour à l’étude globale de systèmes d'armes (Initiative de défense stratégique ou « Guerre des étoiles ») puis de fonctions pour les véhicules, il revient au CEA où il est chargé de développer des composants pour la séparation isotopique[6].
De 2002 à 2006, il est président du G.I.E CODEM regroupant EDF, le CEA et AREVA, chargé de l'assainissement et du démantèlement de la première usine de retraitement Française UP1 destinée initialement à la production de plutonium militaire et située à Marcoule.
Le 14 avril 2009, il est nommé directeur de l'Énergie nucléaire (CEA/DEN) du commissariat à l'Énergie atomique et aux Énergies alternatives (CEA). Cette direction est chargée du soutien à l'industrie nucléaire actuelle et de la préparation du nucléaire du futur, d'une part, et, d'autre part, de l'assainissement et du démantèlement des installations nucléaires du CEA. Son budget annuel est de l'ordre de 1,2 milliard d'euros et elle emploie 4500 personnes, avec de nombreuses collaborations internationales avec les pays étrangers (États-Unis, Royaume-Uni, Chine, Russie, Japon, etc.).
En 2010 il lance ,avec le soutien important de l'administrateur général du CEA de l'époque B.Bigot ,et en cherchant un financement de 650 Meuros auprès du programme pour les investissements d'avenir ,le projet de réacteur à neutrons rapides ASTRID avec comme objectif principal la fermeture complète du cycle du combustible nucléaire tel qu’il existe en France.
En février 2016, il est parmi les 50 personnes qui font l'innovation en France dans le journal Industrie et technologie. La même année, il décide de quitter le CEA et entre à la holding du groupe Fayat, chargé du développement dans le domaine nucléaire. Il lui est demandé de garder certaines fonctions à l'international, au sein du Japon (Conseiller spécial du NDF, à propos de Fukushima) et de la Russie (à l'institut Kurchatov et dans le comité d'orientation du réacteur d'essai MBIR de Dimitrovgrad).
En 2017, il est élu président du comité du commerce extérieur du groupe intersyndical des entreprises françaises du nucléaire (GIIN) et entre au bureau du pôle de compétitivité Nuclear Valley ainsi qu'à celui de l'AIFEN.
En 2018 il est élu vice-président de la supply chaîne nucléaire Française et président du comité export de cette dernière au sein du GIFEN.
En 2020 il est élu président de la supply chain nucléaire Française au sein du GIFEN (groupement des industriels Français de l'énergie nucléaire) .