Les positions de Sommers et de ses écrits sont décrits par l'Encyclopédie de philosophie de Stanford sous l’appellation de féminisme d'équité, une perspective féministe libertarienne qui suggère que le principal rôle politique du féminisme est de s'assurer que le droit à la non-interférence coercitive est respecté [3]. Sommers oppose elle-même le féminisme d'équité au féminisme victimaire et au féminisme de genre, expliquant que la pensée féministe moderne contient souvent une « hostilité irrationnelle à l'égard des hommes » et une « incapacité à prendre au sérieux la possibilité que les sexes sont égaux mais différents »[4].
↑(en) Sarah Projansky, Watching Rape : Film and Television in Postfeminist Culture, NYU Press, , 311 p. (ISBN978-0-8147-6689-7, lire en ligne)
↑(en) Kristin J. Anderson, Modern Misogyny : Anti-feminism in a Post-feminist Era, Oxford University Press, , 183 p. (ISBN978-0-19-932817-8, lire en ligne)