Christiane Frenette a publié cinq recueil de poésie : Indigo nuit (Éditions Leméac, 1986), Cérémonie mémoire (Écrits des Forges, 1988), Le ciel s'arrête quelque part, (Écrits des Forges, 1991), Les fatigues du dimanche (Éditions du Noroît, 1997) ainsi que Territoires occupés (Le Lézard amoureux, 2007)[2],[3],[4].
Elle fait également paraître trois romans ainsi qu'un recueil de nouvelles : La terre ferme (Boréal, 1997), La nuit entière (Boréal, 2000), Après la nuit rouge (Boréal, 2005) ainsi que Celle qui marche sur du verre (Boréal, 2002)[5],[6],[7],[8].
Dans le journal Le Soleil, Benny Vigneault présente l’œuvre de Christiane Frenette ainsi :
Avec le regard sensible et tendre qu'elle porte sur ses semblables dans ses œuvres de fiction, de même que par son écriture souple, puissante et imagée, Christiane Frenette se situe sans aucun doute parmi les meilleurs écrivains québécois, toutes époques confondues[9].
Ses œuvres lui ont valu plusieurs prix dont le Prix Octave-Crémazie (Indigo nuit, 1986) ainsi que le Prix du gouverneur général du Canada dans la catégorie «roman et nouvelles» ( La Terre ferme, 1998)[1].
Terra firma = La terre ferme, Traduction par Sheila Fischman, Duvegan, Ontario, Cormorant Books, 1999, 134 p. (ISBN1-896951-18-X)
The whole night through = La nuit entière, Traduction par Sheila Fischman, Ontario, Cormorant Books, 2004, 189 p. (ISBN1-896951-59-7)
The woman who walks on glass = Celle qui marche sur du verre, Traduction par Sheila Fischman, Ontario, Cormorant Books, 2007, 145 p. (ISBN978-1-897151-15-0)
After the red night = Après la nuit rouge, Traduction par Sheila Fischman, Ontario, Cormorant Books, 2009, 161 p. (ISBN978-1-897151-14-3)
↑Robert Yergeau, « Roy, Yvon, Charlebois et Frenette : les multiples contraires de la poésie / André Roy, Action writing, les Herbes rouges, 1985, 110 p. / Josée Yvon, Filles-missiles, les Écrits des Forges, 1986, 72 p. / Jean Charlebois, Tâche de naissance, le Noroît, 1986, 150 p. / Christiane Frenette, Indigo nuit, Leméac, 1986, 60 p. », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 43, , p. 33–34 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑Rachel Leclerc, « Benoit Jutras, Nicole Brossard, Christiane Frenette », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 131, , p. 47–48 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑Hugues Corriveau, « Nicolas Dickner, Francine Noël, Christiane Frenette », Lettres québécoises : la revue de l'actualité littéraire, no 119, , p. 22–23 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bValérie Lessard, « Écrire à bout portant », Le Droit, , p. A32.
↑ a et bBenny Vigneault, « Éclats de vérité et quête d'absolu », Le Soleil, , p. B7.
↑« Prix et distinctions », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 93, , p. 54–54 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑« Prix et distinctions », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 111, , p. 61–62 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑« Prix et distinctions », Lettres québécoises : la revue de l'actualité littéraire, no 123, , p. 70–71 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )