Il revient ensuite à l’Université de Sherbrooke pour compléter son doctorat en 1981. Sa thèse portait le titre « Étude de la décomposition thermique sous vide de la tourbe en présence d'additifs métalliques et modèle cinétique de la formation des gaz pyrolytiques[2] ».[source insuffisante]
Carrière académique
Durant sa carrière de professeur, il a dirigé une cinquantaine d’étudiants gradués à la maîtrise et au doctorat et rédigé plus de 200 articles scientifiques[3].[source insuffisante]
Carrière entrepreneuriale
Parallèlement à sa charge de professeur, il fonde Pyrovac en 1988, une entreprise de R&D destinée à développer de nouvelles technologies dans le domaine environnemental et dans celui des énergies renouvelables[4].[réf. à confirmer]
Expert en pyrolyse
Christian Roy agit à titre d’expert en pyrolyse pour plusieurs entreprises et organismes internationaux. Il participe également à des comités d'arbitrage et à des jurys pour des journaux scientifiques et des thèses universitaires, en plus d’être demandé comme examinateur externe pour analyser des projets susceptibles de recevoir des bourses et des subventions[5].[réf. à confirmer]
↑Christian Roy, Étude de la décomposition thermique sous vide de la tourbe en présence d'additifs métalliques et modèle cinétique de la formation des gaz pyrolytiques, Sherbrooke, Savoirs UdeS, (lire en ligne)
↑Joane Arcand, « Christian Roy, le croisé du recyclage », Revue de l'Association canadienne-française pour l'avancement des sciences (ACFAS)), , p. 8-12 (lire en ligne [BANQ numérique])
↑JEAN HAMANN, « Sur la piste du pétrole vert », Fil de l'événement, (lire en ligne)
↑Natural Sciences and Engineering Research Council of Canada Government of Canada, « CRSNG - E.W.R. Steacie - Lauréats », sur Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), (consulté le )
↑Michel Gervais, « Lettre de felicitation du recteur de universiter laval a christian roy », Lettre de felicitation du recteur de universiter laval a christian roy, , p. 1 (lire en ligne [PDF])
↑Jean-Guy Savard, lettre de felicitation a christian roy, quebec, , 1 p. (lire en ligne), p. 1
↑(en) Therese fearon, « canadian society for chemical engineering, albright wilson americas award », canadian society for chemical engineering, albright wilson americas award, , p. 1 (lire en ligne [PDF])