À son retour à Tunis, il devient un membre actif de la Khaldounia et adhère au parti du Destour en 1924. Il fonde par ailleurs le journal Le Libéral en 1925 et crée à Paris, pendant ses études de droit, le journal L'Étoile nord-africaine en 1926. Revenu à Tunis en 1929, il crée les journaux L'Étendard tunisien et La Voix du Tunisien, organes du Destour.
Khairallah adhère plus tard au Néo-Destour et le préside quelques mois en 1935, en remplacement de Mahmoud El Materi déporté dans le Sud tunisien, et doit le quitter après des démêlés avec Habib Bourguiba[1].
Il est l'auteur de nombreux ouvrages dont L'Orient dans la littérature française, Le Mouvement évolutionniste tunisien et Le Mouvement jeune tunisien.
Références
↑Mohamed Fadhel Ben Achour, Le mouvement littéraire et intellectuel en Tunisie au XIVe siècle de l'hégire (XIXe – XXe siècles), Le Caire, Ligue arabe, .