Il retourne en Russie à la fin de sa carrière pour peindre des épisodes de la vie du Christ, et meurt à Paris en 1856. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (51e division)[2].
Béatrice Fontanel et Daniel Wolfrom, Quand les artistes peignaient l’histoire de France. De Vercingétorix à 1918, Seuil, Paris, 2002
Eva-Frédérique Bouillo, « Charles Von Steuben, de la gloire à l’oubli : les raisons d’une postérité dans l’ombre », Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques, vol. 134, no 11, , p. 82–94 (lire en ligne).
↑Pierre Vaisse, « Sur les rapports artistiques franco-allemands au XIXe siècle », Romantisme, vol. 21, no 73, , p. 96 (DOI10.3406/roman.1991.5785, lire en ligne, consulté le ).