Charles Bigot expose au Salon des Indépendants puis est envoyé à Verdun lors de la Première Guerre mondiale. Porté disparu le , il est reconnu avoir été tué le « en faisant vaillamment son devoir » et est décoré à titre posthume de la Croix de guerre avec étoile de bronze[1].
Son nom figure sur le monument aux morts de Toges.