Charles-Émile Matthis travaille comme lithographe dès 1863 pour l'imprimerie Wentzel de Wissembourg[3], puis comme illustrateur et graveur pour l'éditeur Pierre-Jules Hetzel ainsi que la revue Magasin d'éducation.
Il expose des peintures au Salon de 1868 (L'Orpheline) à 1882[4]. À partir de 1871, il réalise des œuvres à motifs patriotiques, dont le tableau Strasbourg le 28 septembre 1870.
↑Eugène Froment dit Froment-Delormel (Paris, 1820 - Paris, 1900) pour ne pas être confondu avec le graveur Eugène Froment (Sens, 1844 - Paris, 1926).
↑René Wetzig, Dictionnaire des signatures des peintres, dessinateurs, lithographes et graveurs alsaciens : du milieu du XIXème siècle à nos jours, Colmar, Jérôme Do Bentzinger, , 644 p. (ISBN978-2-84960-526-4), T2, P156
↑Catalogue de l'exposition de 1890 avec les récompenses des années précédentes, texte en ligne
Annexes
Bibliographie
Jean-Marie Embs et Philippe Mellot, 100 ans de livres d'enfant et de jeunesse : 1840-1940, Éd. de Lodi, Paris, 2006, p. 271 (ISBN2-8469-0278-X).
René Wetzig, Dictionnaire des signatures et des monogrammes des peintres, dessinateurs, lithographes et graveurs alsaciens , Éd. Jérome Do Benzinger, 2015, T2 p. 157 (ISBN9-782849-605264).
François Lotz, Artistes-peintres alsaciens décédés avant 1800 : Avec un complément concernant des artistes-peintres alsaciens ayant œuvré après 1800 (Artistes-peintres alsaciens.), Printek, , 383 p., p. 222.