La première magistrate installée à ce poste a agi en justice pour recevoir sa prime de sujétion géographique[3].
Des séances foraines sont également tenues le long du Maroni, en pirogue, depuis 2013[4],[5]. Il y a eu en 2019 plusieurs manques de juges spécialisés pour cette chambre détachée[6].
↑Stéphanie Guyon, « Passer devant le juge aux affaires familiales ?Intermédiaires de la justice et alternatives au tribunal à Saint‑Laurent du Maroni (Guyane) », Ethnologie française, vol. 48, no 1, , p. 107–120 (ISSN0046-2616, DOI10.3917/ethn.181.0107, lire en ligne, consulté le )
↑« En Guyane française, la "pirogue du droit" au coeur de territoires oubliés », La Croix, (ISSN0242-6056, lire en ligne, consulté le )