Les limites communales de Chaligny et celles de ses communes adjacentes.
Localisation
D'une superficie de 1 330 ha, dont 100 ha dans la forêt de Haye, le village de Chaligny est située sur un promontoire exposé plein sud, sur la rive droite de la Moselle, à une altitude de 290 mètres. Il se trouve à 14 km de Nancy et à 19 km de Toul.
D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 1 336 hectares comportait en 2011, 71 % de forêt, 15 % de zones agricoles, 3 % de prairies, 6 % de zones industrielles et urbanisées et 5 % de masses d'eau[2].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de la Bécasse Fauchée, d'une superficie totale de 9,7 ha (4,7 ha sur la commune)[Carte 1],[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 840 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 11 km à vol d'oiseau[11], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 3],[12],[13].
Au , Chaligny est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16].
Elle appartient à l'unité urbaine de Neuves-Maisons[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant sept communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[18]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,6 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), zones urbanisées (7 %), eaux continentales[Note 7] (4,8 %), prairies (2,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %), cultures permanentes (0,2 %)[21].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté vers 964 sous la forme latiniséeChelineium, par la suite on trouve les latinisations ou les formes romanes [Ecclesia Sancti-Remigii] Caliniacensis en 1126, [Cella et parochia de] Caliniaco en 1178, Caluniacum en 1181, [Udo de] Chelignei en 1130, [Mina ferraria in banno de] Chaleini en 1174, Chalignœ en 1249, Challegney en 1284, Challigney en 1291, Cheligney en 1321, [De] Challigneys en 1634, Challigneium, Challigneyum en 1436, Challigny en 1600, Caleniacum en 1675[22].
Un document de 1284 signale que le village est déjà partagé en deux parties : le Mont et le Val.
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Les indices d'une occupation ancienne du territoire communal de Chaligny sont rares, mais l'extension des recherches aux communes voisines permet d'imaginer qu'elle a pu exister, puisque la découverte de sépultures néolithiques à Maron et à Villey-le-Sec indique que cette région était habitée dès la préhistoire et plus tard avec la proximité du Camp d'Affrique à Messein et les tumulus de Maron. Beaupré signale toutefois dans son répertoire archéologique que l'on aurait, dit-on, trouvé à différentes reprises des objets antiques et des sépultures sur le territoire de Chaligny dont notamment :
" … (une) hache polie en trapp, recueillie dans une galerie abandonnée de la mine du Val de Fer"[23]
Moyen Âge
Au XIIe siècle, Chaligny est une seigneurie dépendant de l'évêque de Metz et donnée en fief aux comtes de Vaudémont.
En 1150, Gérard II, comte de Vaudémont, fait appel aux pères de Cîteaux qui viennent s'installer à Chaligny en un lieu nommé Ferrière[24]. Ils en sont chassés par les habitants en 1159 et s'installent à Clairlieu sur un terrain qui leur est donné par Mathieu Ier, duc de Lorraine.
En 1345, la suzeraineté de l'évêque de Metz est transférée à l'identique au duc de Lorraine. Le 21 novembre 1562, la seigneurie de Chaligny qui appartient alors à Nicolas de Vaudémont, duc de Mercœur, est érigée en comté par le duc de Lorraine. La descendance des comtes de Chaligny se poursuit par les femmes qui quittent la Lorraine. Le comté est alors vendu à François de Vaudémont qui deviendra duc de Lorraine en 1624. À partir de ce moment, le sort de Chaligny est celui du duché de Lorraine.
Le château-forteresse de Chaligny est détruit en 1467 par René II de Lorraine, en conflit avec Thiébaut III, seigneur de Chaligny et comte de Vaudémont. Il ne sera jamais reconstruit, mais les habitants ont utilisé les pierres et certains murs du château pour construire de nouvelles habitations. Le souterrain du château a été comblé, et personne ne connaît plus son emplacement.
Temps modernes
La construction de l'église actuelle a été réalisée entre 1513 et 1530, sur l'emplacement de l'ancienne église détruite en même temps que le château. De l'édifice antérieur subsistent la tour du clocher et le grand portail surbaissé (le bénitier de ce portail est aujourd'hui inaccessible). L'église possède un superbe vitrail de 1520, ainsi qu'une statue de sainte Barbe, patronne des mineurs, datant du XVIe siècle et une superbe pietà en pierre de la même époque. Les autres statues en pierre ou en bois peint et doré datent du XVIIIe siècle. Les bans de la nef sont les plus anciens et datent du XVIe siècle avec les noms gravés au nom des premiers "locataires". Les sept premières rangées sont réservées aux hommes, et les autres aux femmes à partir de la 8e rangée de droite qui porte l'inscription "ban des femmes".
Époque contemporaine
Fondée en 1913 par Jules et Henri Lévy, la filature de Chaligny emploie jusqu'à 500 ouvrières avant de connaître des difficultés dans les années 1950. Rachetée par le groupe Tricoterie Industrielle Moderne (T.I.M.) puis par le groupe Timwear, l’un des groupes français les plus importants de l’industrie textile, la Tricoteries de Chaligny est marquée par la bataille pour l'emploi (grève avec occupation d'usine, marche sur Nancy) menée par les tricoteuses lorsque son comité d'entreprise est averti le 11 juin 1971 de la fermeture de la filature qui emploie alors 438 personnes dont 411 femmes. L'activité productive est reprise par l'entreprise Fra-For qui est cependant contrainte de fermer la tricoterie en 1986. La commune de Chaligny rachète alors l’ensemble industriel et reconvertit les terrains en zone d'activité[25].
En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :
total des produits de fonctionnement : 1 612 000 €, soit 562 € par habitant ;
total des charges de fonctionnement : 1 522 000 €, soit 531 € par habitant ;
total des ressources d'investissement : 298 000 €, soit 104 € par habitant ;
total des emplois d'investissement : 384 000 €, soit 134 € par habitant ;
endettement : 573 000 €, soit 200 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
taxe d'habitation : 14,95 % ;
taxe foncière sur les propriétés bâties : 34,61 % ;
taxe foncière sur les propriétés non bâties : 64,19 % ;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 230 €[29].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2021, la commune comptait 2 782 habitants[Note 8], en évolution de −3,34 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La démographie de Chaligny a varié en fonction de son économie, mais aussi des guerres qui ont ravagé son territoire pendant des siècles. Agglomération importante pour le début du XVIIe siècle (environ 700 habitants), la guerre la plus meurtrière de tous les temps, celle de Trente Ans, fait chuter sa population à 45 habitants. Il faut plus d'un siècle pour que Chaligny retrouve le même niveau de démographie. Ensuite, sa population croît lentement et décroît un peu pendant les guerres de 1870, 1914 (90 morts qui étaient nés à Chaligny) et 1945. En 2005, la population avoisine les 3 000 habitants et devrait croître avec le récent quartier du Fond du Val (créé en 2004) et les projets de création de nouveaux lotissements. Chaligny n'a aussi presque que des résidences principales[34].
Économie
D'après les historiens (Grosse[36], Lepage[37]) l’activité était rurale au XIXe siècle :
« Surf. territ. : 124 à 171 hect. en terres lab., 74 à 87 en prés, 186 à 285 en vignes, 807 en bois. On y élève principalement des vaches, et on s'y livre à la culture de la vigne (de qualité médiocre). »
L'économie de Chaligny est liée à ce qui sera, pendant de nombreux siècles, sa principale activité : la culture de la vigne, apportée au IIIe siècle par les Romains. À la fin du XIXe siècle, plusieurs années consécutives de mauvaises récoltes, puis l'arrivée du phylloxera ont peu à peu convaincu les Chalinéens de se reconvertir dans l'industrie qui était alors en plein essor dans la région (usine de Neuves-Maisons et filatures) et assurait un revenu fixe et indépendant des conditions climatiques. L'industrialisation fait exploser la population de Chaligny et un troisième quartier est créé : les Cités.
Le minerai de fer présent sur le territoire de Chaligny est exploité par à coups au cours des siècles. Réputé au XIIe siècle, son exploitation est reprise en 1364 par Marie de Luxembourg qui se trouve dans une situation financière désastreuse à la mort de son époux Henri V, comte de Vaudémont. Elle exploite alors le minerai de fer et crée des forges qui disparaîtront au début du XVIe siècle. Les mines seront encore rouvertes à la fin du XVe siècle, en effet René II de Lorraine, vainqueur de Charles le Téméraire, relance plusieurs mines afin de reconstruire la Lorraine. Les mines sont de nouveau exploitées aux XIXe et XXe siècles, puis définitivement fermées en 1965.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Chapelle Notre-Dame-des-Mineurs.
Église Saint-Remi.
Moselle (canal).
Forêt de Haye.
Ancienne gare de Chaligny.
Château fort détruit en 1467 ; il n'en reste rien[38].
Maisons avec niches, portes et fenêtres XVe et XVIe siècles[39].
Église Saint-Remi XVIe siècle gothique et les maisons groupées autour de l'église sont inscrites, par arrêté du , au titre des monuments historiques[43].
Dans cet inventaire, 9 spécificités y sont enregistrées :
L'orgue de Tribune, fait par Stezle Joseph[44], datant du 1er quart du XIXe siècle est inscrit au titre objet des monuments historiques depuis le 23 juillet 1990[45]. Seule la partie instrumentale est protégée au titre objet[46].
L' instrument serait l'ancien positif de dos de l'église de Saint-Nicolas-de-Port ou proviendrait de l'abbaye cistercienne de Clairlieu, détruite à la Révolution. Il a sans doute été réalisé vers 1810 à partir d'éléments de tuyauterie plus anciens.
Statue sainte Catherine, sculpture en bois du XVIIIe siècle, inscrite au titre objet des monuments historiques depuis 1983[47].
Statue saint Nicolas, sculpture en bois du XVIIIe siècle, inscrite au titre objet des monuments historiques depuis 1983[48].
Statue saint Rémy, sculpture en bois redoré du 4e quart du XVIIIe siècle située dans l'abside, inscrite au titre objet des monuments historiques depuis 1983[49].
Autel latéral de la Vierge et son retable, sculpture en bois repeint et redoré du 3e quart du XVIIIe siècle, inscrits au titre objet des monuments historiques depuis 1974[50].
Statue sainte Barbe, sculpture en pierre peinte du XVe et XVIe siècles, objet classé au titre des monuments historiques le [51].
Groupe sculpté : sainte Anne et la Vierge, sculpture en bois peint, doré et argenté datant du 1er quart du XVIIIe siècle ; objet classé au titre des monuments historiques le [52].
Autel, gradins d'autel, retable, statuettes : saint Pierre, saint Paul, saint Rémy, saint Nicolas, ange adorateur, sculpture en bois taillé, peint et doré, datant du 1er quart du XVIIIe siècle ; objet classé au titre des monuments historiques le [53].
Verrière (2) datant du 1er quart du XVIe siècle: résurrection des morts, Education de la Vierge, sainte Marguerite, armes de Henry de Thierstein, armes de Marguerite de Neufchatel Montaigu (baies 0,3), verrière figurée, XVIe siècle[56].
Georges Émile Labroche (1896-1969), soldat de la Première Guerre mondiale appartenant au 19e bataillon de chasseurs à pied. Le 9 novembre 1918, il prit place dans l'un des 2 véhicules qui traversèrent les lignes allemandes jusqu'à Spa, pour informer l'État-major allemand des conditions de l'armistice signé à la Capelle. Sur le parcours aller-retour il sonna au clairon le cessez-le feu. L'histoire a surtout retenu Pierre Sellier qui, l'avant-veille avait accompagné au clairon l'arrivée des plénipotentiaires allemands.
Le blason de Chaligny : parti au 1er coupé de gueules à la bande d’argent et de gueules à l’aigle aussi d’argent ; au 2e d’or à la bande de gueules chargée de trois alérions d’argent.
Détails
La seigneurie de Chaligny appartient au XIVe siècle à la famille de Neufchâtel. L’église conserve encore un vitrail armorié aux armes de Marguerite de Neufchâtel, morte en 1534, (la bande et l’aigle d’argent). Par la suite, la terre de Chaligny devient la propriété du duc de Lorraine et est érigée en comté.
Sont donc associées sur ce blason, les armes de Marguerite de Neufchâtel et celles du Duc Godefroy de Bouillon. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Voir aussi
Bibliographie
Histoire méconnue de ma vallée, Bernard Perrin, Essey-lès-Nancy, Impr. Christmann, 1985
G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.
Chaligny, ses seigneurs et son comté / par Paul Fournier, Nancy, A. Crépin-Leblond, 1903, 583 p. ; in-8°
Michel Hérold, Françoise Gatouillat, Les vitraux de Lorraine et d'Alsace, Corpus vitrearum, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Paris, CNRS Editions Inventaire général, , 330 p. (ISBN2-271-05154-1)
Recensement des vitraux anciens de la France, Volume V, Chaligny, pages 40 à 41
« Chaligny », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
(fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
↑Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 424 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/10/1988 au 01/04/2024.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Neuves-Maisons comprend une ville-centre et six communes de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe : rédigé sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine, Paris, Imprimerie impériale, coll. « Dictionnaire topographique de la France », (lire en ligne).
↑Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, (lire en ligne), p. 39.
↑Henri Lepage, « L'abbaye de Clairlieu, ordre de Cîteaux », Bulletins de la Société d'archéologie lorraine, Nancy, Société d'archéologie lorraine, t. V, , p. 97-215 (lire en ligne, consulté le ).
↑Collectif, La Filoche de Chaligny. Quand les tricoteuses racontent, Gerard Louis, , 112 p..
↑Notice no IM54002375, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture2 verrières figurées : Résurrection des morts, Education de la Vierge, sainte Marguerite, armes de Henry de Thierstein, armes de marguerite de Neufchatel Montaigu (baies 0, 3)
↑Alfred de (1833-1903) Auteur du texte Champeaux, Dictionnaire des fondeurs, ciseleurs, modeleurs en bronze et doreurs, depuis le Moyen Âge jusqu'à l'époque actuelle : A-C : par A. de Champeaux,..., (lire en ligne).