L'hôpital François Mitterrand (ancien hôpital du Bocage dont le renommage fit polémique en 2015[1]), sur le site du Bocage central, à l'est de Dijon sur la butte Montmuzard. Depuis la fermeture du site historique de l'Hôpital Général au centre-ville de Dijon, le site rassemble hôpital d'enfants, maternité, urgences, centre de cardiologie, centre de convalescence et de rééducation, bâtiment Marion (psychiatrie et addictologie), centre d'hémodialyse, centre de Transfusion Sanguine, rattaché à l'Etablissement Français du Sang, etc. au même endroit.
Le centre gériatrique de Champmaillot, rue Jules Violle.
La Mirandière, unité de soins palliatifs (USP) en bordure de ville à Quetigny.
Le site historique de l'ancien hôpital général situé en centre-ville (2 rue de l'Hôpital et 3 rue du Faubourg-Raines à Dijon), proche de la place du 1er-Mai a été fermé en 2015. Ce site est réhabilité pour héberger la Cité de la gastronomie.
Le CHU Dijon-Bourgogne emploie 7 319 personnes[2], ce qui en fait le plus gros employeur de Bourgogne.
Mission
Hôpital de la Bourgogne
Développement de spécialité régionale (greffe, neuro-chirurgie, etc.)
Lien fort avec l'université
Recherche
Direction inter-régionale de la recherche clinique
C'est en 1204 que le Duc de Bourgogne Eudes III fonde une maison destinée à accueillir les enfants abandonnés. Cette maison est située près de l'Ouche. Administré par les hospitaliers du Saint-Esprit, la maison grandit notamment au XVIIe siècle, en annexant les bâtiments de l'hospice Saint-Anne. Le nom devient hôpital Notre-Dame de la Charité. Tout au long du XVIIIe siècle, l'hôpital grandit, notamment à la suite des mesures de Louis XIV concernant la création d'hôpitaux généraux.
À partir de 1911, les personnes âgées quittent l'Hôpital général pour l'hospice de Champmaillot. Le (750e anniversaire), le chanoine Kir, alors maire de Dijon, pose la première pierre d'un nouveau complexe nommé Bocage (nom donné par rapport au terrain qui hébergera ce site, formé de bocages).
En 1980, Paule-Marie Carli crée le Registre des Hémopathies Malignes de Côte-d’Or (RHEMCO)[4], premier registre de cancer spécialisé en hématologie au monde.