Daniel Groscolas prend la présidence puis est remplacé par Jacques Miquel en 2008[2]. Au décès de ce dernier en 2011, Annie Guibert devient la nouvelle présidente du centre, après avoir occupé le poste de secrétaire générale depuis 2005.
Les écrits du CCMM sont une source d'information pour des organismes comme la MIVILUDES[6].
Critiques
Début 2001, Patricia Vivien, directrice administrative et épouse d'Alain Vivien (alors président de la MILS), prit une place importante au CCMM, finissant par disposer de plus de pouvoir que le président en titre[7].
L'association, dans le cadre de son travail d'information sur les sectes, a édité en 1998 un Dictionnaire des sectes. MgrJean Vernette, secrétaire national de l'épiscopat français pour l'étude des sectes et lui-même membre du CCMM depuis sa création, souligne en 2001 l’ambiguïté de certaines mentions[8].
↑ a et b« Un an après le scandale du fonds Marianne, la gestion de la Miviludes mise en cause », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« La présence des associations est très utile, qu’il s’agisse des associations départementales de défense de la famille et de l’individu (ADFI), des associations familiales comme l’union départementale des associations familiales (UDAF), ou du centre de documentation, d’éducation et d’action contre les manipulations mentales (CCMM). » (Rapport 2003 de la MIVILUDES, p. 40 sur http://www.miviludes.com/IMG/pdf/Rapport_MIVILUDES_2003-5.pdf)