Au milieu de l'été, Sasha, 30 ans, meurt soudainement. Alors qu'ils se connaissent peu, son compagnon Lawrence et sa sœur Zoé se rapprochent. Ils partagent comme ils peuvent la peine et le poids de l'absence, entre Berlin, Paris et New York. Trois étés, trois villes, le temps de leur retour à la lumière, portés par le souvenir de celle qu'ils ont aimée.
En France, le site Allociné recense une moyenne des critiques presse de 3,7/5, et des critiques spectateurs à 3,6/5[1].
" Il ne se passe rien de décisif, et pourtant tout passe, dans ce beau film sur le regret où les vivants errent sous le soleil comme des ombres pressées, où le bonheur est une indécision et la beauté des grandes villes désertées, un réconfort. " L'Obs, le [2].
" Oui, c’est un cinéma très doux, mais doux comme les vagues de l’été qui finissent pourtant par éroder le roc. Sans violence, Mikhaël Hers nous révèle cependant à nous-même notre infinie tristesse, un flot d’émotions venues on ne sait trop d’où, si ce n’est peut-être du passé. " Les Inrocks, le [3].