En 2008, elle investit le Forum des Halles avec un des épisodes des « 3 Espaces[5] », sous forme d’installation littéraire transmédia et immersive. Cette mise en espace urbaine du texte transmédia constitue une singularité propre au récit variable[6],[7].
Après la "sémantique transmédia", Carole Lipsyc met au point le concept de « sémantique analogique[8] ».
Activité contributive
EN 2024, elle publie aux éditions de l'AubeL'activité contributive. Ce que nous sacrifions à la richesse[9]. Elle y met au jour un aspect méconnu mais fondamental de l’économie de marché : l'« activité contributive ». Cette notion défie les paradigmes économiques traditionnels en reconnaissant la valeur de la contribution humaine hors du cadre formel du travail rémunéré et du capital[10].
Méthode de mesure radicale
Elle a créé la méthode de la mesure radicale et l'a appliquée à l’évaluation de l’activité contributive des Français. Elle a pu prouver qu’elle représentait autant que 68% du PIB[11].
Elle a également utilisé cette méthode à l’estimation de l’apport contributif aux Jeux olympiques et paralympiques 2024, démontrant que plus d’un demi-million de personnes avaient été bénévoles pour permettre la bonne tenue de ces jeux[12].
↑Sophie Rabau, « Pour une poétique de l’interpolation », Fabula-LhT, (ISSN2100-0689, lire en ligne, consulté le )
↑Carole Lipsyc, « La sémantique analogique et le topos numérique : une solution pour l’éditorialisation complexe : (interactive, coopérative, transmédia, géomobile, pervasive) », Thèses.fr, Paris 8, , p. 400 (lire en ligne, consulté le )
↑Carole Lipsyc, L'activité contributive: ce que nous sacrifions à la richesse, Éditions de l'Aube, coll. « Monde en cours », (ISBN978-2-8159-6069-4)