Après avoir obtenu sa licence en droit à l'université de Deusto[1]. Affecté dans divers tribunaux, il est nommé au quatrième tribunal central d'instruction, à Madrid, en 1980[1]. Entre 2001 et 2008, il préside l'Audience nationale[2].
Il est élu en président du Conseil général du pouvoir judiciaire (CGPJ), donc du Tribunal suprême. Il est présenté comme un magistrat consensuel aux convictions conservatrices[3]. Il démissionne en , après qu'il a été révélé qu'il avait effectué de nombreux voyages aux frais du CGPJ sans justifier de leur caractère professionnel[4]. Il est remplacé par Gonzalo Moliner(es), jusqu'alors président de la chambre sociale du Tribunal suprême et de tendance progressiste[5].
↑ ab et c(es) G. Palacios, « Dívar, el juez que huyó de los focos hasta que provocó un escándalo », Euskal Irrati Telebista, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) EFE, « Muere Carlos Dívar, expresidente del Tribunal Supremo », RTVE, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) EFE, « El presidente de la Audiencia Nacional dirigirá el Poder Judicial y el Supremo », La Verdad, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) José Antonio Hernández, « Dívar dimite sin conciencia de culpa y sintiéndose víctima de una campaña », El País, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) Pedro Jiménez, « El progresista Gonzalo Moliner, elegido nuevo presidente del Poder Judicial », Cadena SER, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) Manuel Marraco, « Muere Carlos Dívar, ex presidente del Tribunal Supremo », El Mundo, (lire en ligne, consulté le ).