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1874. Will Andrews est le fils d'un pasteur. Un peu naïf, le jeune homme abandonne ses études à Harvard pour se rend à Butcher's Crossing. Cette petite ville frontalière du Kansas ne survit que grâce au commerce des peaux de bisons. Will, qui souhaite voir du pays, veut à tout prix découvrir le Far West. Le jeune voit un certain romantisme à partir à la chasse au bison. Il prend alors contact avec McDonald, une vieille connaissance de son père. Mais ce dernier refuse de l'engager car son activité est en berne. Will rencontre alors Miller, un chasseur de bisons expérimenté qui lui révèle l'existence d'un col isolé dans le Colorado où se trouve l'un des rares troupeaux restants. Malgré divers avertissements sur l'état de santé mentale de Miller et de la folie de cette entreprise, Will consacre tout son argent au financement de l'expédition.
Fiche technique
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Un projet d'adaptation du roman Butcher's Crossing (1960) de John Edward Williams est évoqué dès 2009 avec Sam Mendes à la réalisation et Joe Penhall au scénario[6]. Il sera finalement repris quelques années plus tard par Gabe Polsky[7].
Tye Sheridan et Alex Wolff ont été envisagés pour incarner Will mais Gable Polsky voulait un acteur plus jeune[7].
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Sur le site d'agrégation de critiques Rotten Tomatoes, le film obtient 74% d'avis favorables, pour 57 critiques et une note moyenne de 5,9⁄10. Le consensus suivant résumé les avis collectés : « Butcher's Crossing bénéficie de la performance de Nicolas Cage, ce qui contribue à rendre ce western largement passe-partout plus convaincant qu'autrement[14]. » Sur le site Metacritic, qui utilise une moyenne pondérée, le film obtient la note de 55⁄100 pour 14 critiques[15].
La critique du site français Écran large souligne les qualités du scénario « La vraie force du scénario apparait dans sa conclusion, elle aussi anti-spectaculaire, mais d'une ironie morbide. » mais regrette certains aspects de la mise en scène « Dommage que la mise en scène n'appuie pas plus franchement cette frustration, pour faire de Butcher's Crossing non pas seulement une bonne adaptation, mais un grand film désespéré. »[16].
↑Publié en français sous le titre Butcher's Crossing, traduit par Jessica Shapiro, Paris, éditions Piranha, 2016 (ISBN978-2-371-19050-4) ; réédition Paris, 10/18, 2018 (ISBN9782264071743)