Bugarach est une commune rurale qui compte 240 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 027 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Bugarachois et ses habitantes les Bugarachoises.
Le village situé à 436 m se niche au pied du Pech de Bugarach qui culmine à 1 230 m, la pente monte directement à l'est du village jusqu'à l'extrémité ouest du U qui forme la montagne. Le pic est situé à l'autre extrémité de ce U, il est également surnommé « la montagne renversée » en raison de sa tectonique violemment perturbée lors de la surrection des Pyrénées.
Au sud de la commune on trouve le Serre de Ferran, relief allongé atteignant 852 m qui est dans le prolongement du Serre de Bec. À l'ouest, une petite colline surmontée d'un château culmine à 832 m et surplombe la vallée de la Blanque et la D 14, route d'accès à la commune[4].
Bugarach était connue au XVIIIe siècle pour abriter un important dépôt d'ambre jaune[5].
Bugarach se situe en zone de sismicité 3 (sismicité modérée)[6].
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique Côtiers méditerranéens[8], au sein du bassin hydrographiqueRhône-Méditerranée-Corse[9]. Elle est drainée par l'Agly, la Blanque, le ruisseau de Campau, le ruisseau de Cams, le ruisseau de Casse-Rats, le ruisseau de la Coume, le ruisseau de la Peyrière, le ruisseau de la Pourteille, le ruisseau de Las Gourgues, le ruisseau des Caoussanels et le ruisseau des Gascous, constituant un réseau hydrographique de 27 km de longueur totale[10],[Carte 1].
La Blanque, d'une longueur totale de 14,7 km, prend sa source dans la commune de Saint-Louis-et-Parahou et s'écoule vers l'est puis se réoriente vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Sals à Rennes-les-Bains, après avoir traversé 5 communes[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 982 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Granès à 9 km à vol d'oiseau[15], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 724,6 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].
Voies de communication et transports
La D 14 traverse le village d'est en ouest, cette route va de la D 611 près de Tuchan à la D 613 ancienne N 613 près de Couiza. Le col du Linas (667 m) est situé à l'est de Bugarach sur la D 14, il permet de passer de la vallée de la Blanque à celle de l'Agly. Une autre route, la D 45, part de Bugarach vers le sud et permet de rejoindre Saint-Louis-et-Parahou et le Fenouillèdes par le col de Saint-Louis.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[22] :
le « bois du pech de la Paille et du Trou de la Relhe » (328 ha), couvrant 4 communes du département[23] ;
le « massif du pech de Bugarach et col de Linas » (1 029 ha), couvrant 2 communes du département[24] ;
la « serre Calmette et La Falconnière » (461 ha), couvrant 2 communes du département[25] ;
les « Corbières occidentales » (59 005 ha), couvrant 66 communes du département[26] ;
le « pech Bugarach et Serre de Bec » (5 235 ha), couvrant 6 communes du département[27].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Bugarach.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Bugarach est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[28].
Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[29],[30].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (72,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (64,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), prairies (10,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,8 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Logements
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 167[I 2].
Parmi ces logements, 54,5 % étaient des résidences principales, 37,1 % des résidences secondaires et 8,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,2 % des appartements[I 3].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 69,2 %[I 4].
Travaux d'aménagement
En avril 2012, dans le cadre de la rédaction du plan local d'urbanisme (PLU), la commune a défini un plan d'aménagement et de développement durable (PADD) qui repose sur trois objectifs : maîtriser les règles du jeu en termes de constructibilité, gérer les ressources naturelles et énergétiques, préserver et valoriser les qualités du cadre de vie[32]. C'est dans ce cadre également qu'a été défini une « orientation d’aménagement » relative à l’organisation du quartier à l’est du faubourg[33].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 31,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 177 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 5 sont en aléa moyen ou fort, soit 3 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36],[Carte 3].
Toponymie
Anciennes mentions
Le toponymiste Ernest Nègre dans son ouvrage Toponymie générale de la France indique que les plus anciennes mentions attestées sont Burgaragius en 889, Bugaaragium en 1231, Burgairagio en 1259 et Bugaragium en 1347[37]. Le dictionnaire étymologique des noms de lieux en France ajoute les mentions Bigarach en 1194 – 1500, Bigarach en 1298 – 1500, Brigaragio en 1377 et Bugaraich en 1594[38].
Origines possibles
Ernest Nègre indique l'origine possible « champ de Bulgarevus » compte tenu du suffixe latin ium et de la mention Bulgarevus attestée en 962[pas clair][37].
Le toponyme peut être basé sur le nom d'homme germanique Burghar, avec le suffixe -aticum[38]. Bulgar est par exemple le nom d'un comte wisigoth de Septimanie narbonnaise au VIIe siècle.
Selon d'autres sources non spécialisées en toponymie, Bugarach proviendrait de Bulgare (bougres ou boulgres), nom donné au Moyen Âge aux ancêtres des Cathares[39],[40],[41].
Histoire
En 889, le roi Eudes confirme la propriété de la villa de Burgaragio à l'abbaye de Saint-Polycarpe.
On trouve les traces du village de Bugarach dès le XIIIe siècle. Lors de la conquête par les troupes françaises de Simon de Montfort, les différents villages du secteur reviennent à son sénéchal pour Toulouse et le Razès, Pierre de Voisins. Plus tard, le village de Bugarach sera érigé en viguerie et sera mentionné dans plusieurs textes.
À la fin du XVIe siècle cette seigneurie passa à la famille de Montesquieu. Jaquette de Niort épouse de Germain de Montesquieu la reçut en héritage de sa mère, Françoise de Roquelaure, qui l’avait achetée par contrat en 1590 aux héritiers de Pierre Dax. Une nouvelle maison seigneuriale fut construite à proximité de l'ancien château.
La seigneurie resta aux mains des Montesquieu et de leurs alliés jusqu'à la Révolution.
En 1572, durant les Guerres de Religion, le village de « Bugaraich » et son château sont une des bases des calvinistes cévenols et castrais pour les Corbières. Bugarach comme d'autres villages de la région est le théâtre d'affrontements importants entre catholiques et huguenots. Plusieurs fois massacré (1575 - 1577), le village est ravagé et la garnison exterminée en 1586, par Anne, duc de Joyeuse à la tête des troupes de la Ligue catholique, grâce à l'appui de quatre canons et après 20 jours de siège.
La partie la plus importante pour aujourd'hui du passé historique de Bugarach se situe dans le rôle considérable qui fut le sien dans le développement économique du XIXe siècle et du début du XXe siècle en Haute vallée de l'Aude.
Durant le règne de Louis XV, la guerre de Sept Ans (1756-1763) fait des prisonniers parmi la population bugarachoise. Les hommes se retrouvent en Haute-Silésie (Pologne) et confectionnent des chapeaux. De retour dans leur village, ils perpétuent ce savoir-faire en utilisant les ressources de la région : laine des moutons, outils en bois, eau des rivières. C'est ainsi que naît l'industrie chapelière qui se déplacera sous le Second Empire à Espéraza pour des raisons pratiques (musée de la Chapellerie à Espéraza). Aujourd'hui, le village, avec ses 202 habitants (2010), a une activité essentiellement agricole évoluant, avec ses gîtes et chambres d'hôtes, vers l'accueil touristique.
À la fin du XXe siècle, le pic de Bugarach devient une destination de choix hippie, puis New Age. Certains croient en des propriétés telluriques particulières à ce lieu ; ou encore qu'il abrite un trésor caché (comme Rennes-le-Château) ; ou bien encore que s'y trouve une activité OVNI[46]. Au début du XXIe siècle se répand de surcroît l'idée que le village (ainsi que celui de Lamanère[47]) serait épargné par la « fin du monde de décembre 2012 » (tout comme le Rtanj en Serbie[48]). L'intérêt pour ce lieu et, en corollaire, sa fréquentation, s'accroissent alors encore[49],[50]. Ce phénomène a diverses conséquences, dont la hausse des prix de l'immobilier[51], ou d'autres pratiques commerciales l'exploitant. Des médias diffusent ces informations, parlant par exemple d'« atteinte au patrimoine »[52]. La « MIVILUDES » se penche sur la question[53],[54]. La préfecture de l'Aude en vient à interdire l'accès à la montagne trois jours autour du 21 décembre 2012[55] ainsi que son survol aérien[56]. Ce jour-là, on y trouve « 300 journalistes accrédités, 84 médias différents venus de 18 pays ». Un an plus tard, un documentaire, Médiapocalypse, raconte cet événement[57]. Depuis, divers articles y font référence, de manière plus ou moins sérieuse[58].
Au 1er décembre 2012, Bugarach n'est jumelée avec aucune commune[66].
Politique environnementale
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Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[68].
En 2021, la commune comptait 240 habitants[Note 4], en évolution de +6,67 % par rapport à 2015 (Aude : +2,47 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 148 personnes, parmi lesquelles on compte 74,3 % d'actifs (48,7 % ayant un emploi et 25,7 % de chômeurs) et 25,7 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 10]. Elle compte 57 emplois en 2018, contre 44 en 2013 et 49 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 73, soit un indicateur de concentration d'emploi de 77,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,8 %[I 11].
Sur ces 73 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 54 travaillent dans la commune, soit 73 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 50,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 12,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 37,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
31 établissements[Note 7] sont implantés à Bugarach au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 14].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
31
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
6
19,4 %
(8,8 %)
Construction
4
12,9 %
(14 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
10
32,3 %
(32,3 %)
Information et communication
3
9,7 %
(1,6 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
1
3,2 %
(13,3 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
5
16,1 %
(13,2 %)
Autres activités de services
2
6,5 %
(8,8 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32,3 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 31 entreprises implantées à Bugarach), contre 32,3 % au niveau départemental[I 15].
Entreprises
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 15 466 €, ce qui plaçait Bugarach au 31 462e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[I 16].
Agriculture
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Pays de Sault »[72]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la polyculture et le polyélevage[73].
1988
2000
2010
Exploitations
15
15
13
Superficie agricole utilisée (ha)
1 828
1519
1676
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 15 lors du recensement agricole[Note 10] de 1988 à 15 en 2000 puis à 13 en 2010[73], soit une baisse de 13 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 52 % de ses exploitations[75]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 828 ha en 1988 à 1 676 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 122 à 129 ha[73].
Emploi
En 2009, la population de Bugarach se répartissait ainsi : 63,4 % d'actifs et 36,6 % d'inactifs dont 11,4 % de retraités et 8,1 % d'élèves, d'étudiants et de stagiaires non rémunérés[I 17].
Le taux de chômage était de 23,1 % comme en 1999[I 18].
Entreprises et commerces
Au 31 décembre 2010, Bugarach comptait 42 établissements : seize dans l'agriculture-sylviculture-pêche, quatre dans l'industrie, trois dans la construction, treize dans le commerce-transports-services divers et six étaient relatifs au secteur administratif[I 19].
En 2011, quatre entreprises ont été créées à Bugarach[I 20].
Le château de Bugarach, situé au cœur du village, date du XVIe siècle. Ses ruines (propriété privée) sont inscrites aux monuments historiques depuis le 13 avril 1948[76].
Un pont romain à 2 km à l'ouest du village enjambait la Blanque. Il a été reconstruit à la suite d'une crue de la rivière en 1992[77].
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[74].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bErnest Nègre, Toponymie générale de la France, Tome 2, Formations non-romanes, dialectales, volume 2, Librairie Droz, 1996, (ISBN2-60000-133-6), p. 880, [lire en ligne]
↑ a et bDominique Fumanal, « BUGARACH (11) », sur le site etymo-logique.com, (consulté le ).
↑Jean Markale, Montségur et l'énigme cathare, Pygmalion/G. Watelet, 1986, p. 59.
↑Michel Lamy, Jules Verne, initié et initiateur, Payot, 1984, p. 107
↑Thomas Gottin, Le phénomène Bugarach : Un mythe émergent ?, Serpent rouge, 2011, p. 36
↑Louis-Pierre d'Hozier « Armorial général de la France », Firmin-Didot 1738, volume 1, pp. 186-188 lire en ligne [1] et volume 7 pp. 601-604 lire en ligne [2].
↑Jean Villain, La France moderne, tome 3, page 726 et Hubert Vergnette Lamotte, Filiations languedociennes, tome 2, page 12
↑Claude de Vic, Joseph Vaissete, Ernest Roschach, « Histoire générale de Languedoc avec des notes et les pièces justificatives », 1876, volume 4, page 424, lire en ligne et page 555 lire en ligne
↑Emmy Varley, « France : les autorités restreignent l'espoir de survivre à la fin du monde », dépêche de l'AFP, 16 novembre 2012, [lire en ligne].
↑Elisabeth Badinier, « Le survol du Pic de Bugarach interdit par les préfectures de l'Aude et des Pyrénées-Orientales », article France Bleu Roussilon, 18 décembre 2012, [lire en ligne].