Brigitte Simonetta est comédienne de théâtre[réf. souhaitée] dans les années 1970. Sa carrière débute sur Antenne 2 en 1977 à l'occasion d'un des premiers « télé-crochets », lors duquel elle est choisie en même temps que Dorothée pour devenir speakerine[1]. Elle présente épisodiquement quelques numéros de Récré A2 semaine, le programme jeunesse de Jacqueline Joubert entre janvier 1979 et janvier 1980. Elle devient ensuite présentatrice de la météo sur Antenne 2 dans les années 1980. De 1987 à 1989, elle tient la rubrique « Environnement » dans l'émission hebdomadaire de Bernard Rapp, L'Assiette anglaise[2].
En 1990, elle est recrutée par RTL où elle remplace Anne-Marie Peysson pour y présenter une émission quotidienne l'après-midi. Elle y reste jusqu'en 1993. Elle est présentatrice sur la chaîne du câble Santé Vie dans les années 2000 dans l'émission Femmes-Enfants.
Elle travaille à partir de 2012 chez GRDF en qualité de déléguée aux communications pour la région Méditerranée[1].
En France, l'anticyclone des Açores s'est développé. La météo affirme qu'il restera jusqu'à vendredi prochain suffisamment puissant pour offrir une véritable barrière de protection. Il bloque en effet toutes les perturbations venant de l'Est. Mais attention, ces prévisions sont établies pour trois jours, reste à savoir combien de temps il faudra encore pour éteindre l'incendie.
Ce commentaire est illustré par une carte météorologique de l'Europe, sur laquelle un panneau STOP recouvre la frontière française de Nice à la Belgique. Or, si la position des anticyclones et dépressions est correcte, cela ne devait pas permettre de déduire que ça offre une barrière de protection. En l'occurrence, dès le lendemain 1er mai, le journal télévisé de midi annonce qu'une augmentation de la radioactivité a été détectée dans le Sud-Est. Le 2 mai, l'ensemble du territoire était touché[4],[5],[6].
Brigitte Simonetta assume être à l'initiative du panneau STOP. Elle indique avoir rédigé son commentaire seule en se fondant sur les prévisions de Météo-France. En 2019, Brigitte Simonetta alors retraitée, témoigne que cet épisode reste une « plaie à vif » et qu'il « a orienté [s]a vie », dont sa réorientation professionnelle en 1993[7],[8].