Soutenu par sa nouvelle compagne, un homme proche de la quarantaine s’interroge sur les circonstances exactes de la mort de sa mère, 30 ans auparavant sur l'île de Noirmoutier, et mène son enquête, se heurtant au silence et à l'agressivité de son père et à l'hostilité de sa sœur cadette, qui tient à maintenir la paix dans la famille.
Des scènes du film ont été tournées sur le passage du Gois, chaussée submergée à marée haute reliant l'île de Noirmoutier à la côte vendéenne ; selon François Favrat, le Gois « est un personnage à part entière dans le scénario »[2].
« Morne adaptation d'un roman de Tatiana de Rosnay. », Télérama[3]
« Boomerang manie très mal la surprise et l’inattendu, prenant un temps infini à mettre en place la surenchère de révélations finales, laissant les comédiens se débattre dans un no man’s land dramatique fait de paysages vendéens et d’intérieurs impeccablement agencés. », Le Monde[4]
« Ce film construit comme un polar reste toutefois sans grande surprise. », Culturebox France TV info[5]
« C'est un très beau casting que l'on retrouve dans le film Boomerang de François Favrat », Pure People[6]
« Une fiction globalement solide et soignée », Les Echos[7].