L'histoire retrace le mythe d'une berceuse, qui, une fois lue à haute voix, a la faculté de tuer les auditeurs. Carl Streator, journaliste, rencontre Helen Hoover Boyle, agente immobilière spécialisée dans les affaires de fantômes. Celle-ci s'avère porteuse d'un secret, que Carl comprend au fil des pages. Deux hippies écologistes les accompagnent. Ceux-ci, opposés à Carl et Helen, provoquent des débats et quelques combats.
Traductions
Lullaby a été traduit en français par Freddy Michalski sous le titre Berceuse; cette traduction a été publiée pour la première fois en 2004 aux éditions Gallimard, dans la collection La Noire[1].
(en) Francisco Collado-Rodriguez, « Textual Unreliability, Trauma, and the Fantastic in Chuck Palahniuk's Lullaby », Studies in the Novel, vol. 45, no 4, , p. 620–637 (ISSN0039-3827, JSTOR23594823)
(en) Brittany Krantz, « Say What? The Power of Language and Communication Demonstrated in Chuck Palahniuk’s Lullaby’ », HyperCultura, vol. 4, no 2, , p. 1–11 (ISSN2285-2115, 2559-2025 et 2285-2115, résumé)
(en) Peter D. Mathews, « The Politics of Voice in Palahniuk's Lullaby », dans Cynthia Kuhn et Lance Rubin, éd., Reading Chuck Palahniuk: American Monsters and Literary Mayhem, Routledge, (ISBN9781135254681, lire en ligne), p. 157-169
(en) Eduardo Mendieta, « Surviving American Culture: On Chuck Palahniuk », Philosophy and Literature, vol. 29, no 2, , p. 394-408 (ISSN1086-329X, DOI10.1353/phl.2005.0029).