Le relief de la commune est celui d'un plateau traversé par une vallée sèche. Le point culminant se trouve à une altitude de 170 mètres, au sud de la commune[5]. Le sol de la commune est de formation tertiaire et quaternaire, on a retrouvé dans le sous-sol de la commune des fossiles de belemnites, de Mosasaurus, de Térébratule de dents de squale. Sous la couche de terre végétale se trouvent successivement des couches de gros galets recouverts de cailloux fins, du calcaire grossier avec des ossements de mammouth[5].
Aucun cours d'eau ne traverse la commune. À la fin du XIXe siècle, la nappe phréatique était située à 35 m de profondeur[5].
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Authie ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 253 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Authie. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit est, en 2024, en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Canche Et Authie[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 830 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernaville à 12 km à vol d'oiseau[10], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 877,3 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Voies de communications et transports
Beauval est traversé par la route nationale 25 (RN 25).
En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 22 (Doullens - Villers-Bocage - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés et la ligne no 25, le jeudi, jour de marché à Doullens. La ligne no 26 (Doullens - Bernaville - Abbeville) permet les déplacements vers Abbeville[14].
Urbanisme
La commune présente un habitat groupé.
Typologie
Au , Beauval est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15].
Elle appartient à l'unité urbaine de Beauval[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[16],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (75,5 %), prairies (14,5 %), forêts (4,6 %), zones urbanisées (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[19]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 971, alors qu'il était de 944 en 2014 et de 925 en 2009[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Beauval en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,3 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,3 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 4].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
1,3
8,3
9,7
Logements vacants (en %)
8,5
8,5
8,2
Projets
Lors de la campagne municipale de 2020, le maire sortant Bernard Thuillier, qui a été réélu, proposait de construire de nouveaux logements avec les bailleurs sociaux de la commune ou par la création d'une zone d'aménagement concerté (ZAC), la réalisation d'un hôtel d'entreprises ainsi que de revitaliser le centre-bourg et ses commerces, tout en favorisant les déplacements piétons et cyclistes, afin de renforcer l'attractivité de cette commune qui a perdu près de 150 habitants en 10 ans, et qui a été atteint par la fermeture d'entreprises importantes Rosenlew (2004) et Goodyear (2014)[20].
Ce développement pourrait permettre la requalification de la friche Saint-Frères, avec l'aménagement de logements locatifs et en accession à la propriété, ainsi qu'une maison « Âges et vie » destinées aux personnes âgées en perte d'autonomie[21].
Toponymie
On trouve plusieurs formes pour désigner Beauval dans les textes anciens : Bella Vallis, Belval, Biauval, Biauvalis, Belleaval[5].
Le nom de la localité est attesté sous la forme de Bellavalle au XIIe siècle[22].
Beauval signifierait la « belle vallée ». Si le mot val est aujourd'hui masculin, le mot latin vallis lui, est féminin.
Histoire
Préhistoire
Des haches en pierre polie furent retrouvées sur le territoire communal[5].
En 1597, le roi Henri IV établit son camp à Beauval après le siège d'Amiens, en poursuivant l'armée du roi d'Espagne.
En 1789, les Cahiers de doléances du tiers état de Beauval demandaient la suppression de la gabelle (impôt sur le sel).
Époque contemporaine
En 1810, trois frères de la famille Saint originaire de Beauval, Pierre-François l'aîné, Jean-Baptiste et Pierre-François, exerçaient à Beauval la profession de tisserands, comme leur père. En 1814, les trois frères s'associèrent pour fabriquer des toiles d'emballage. Pierre-François l'aîné organisa la fabrication des toiles à Beauval, son frère Jean-Baptiste et ses gendres s'installèrent à Rouen, en 1828, pour en faire commerce. Pierre -François, le troisième frère fut chargé à Amiens de l'achat des matières premières, lin et étoupes ainsi que de la vente des toiles. Plusieurs centaines de tisserands travaillaient pour eux[23],[24].
À partir de 1845, les frères Saint produisirent des sacs en toile de jute. Le jute était un produit nouveau dans l'Europe de cette époque, réputé pour sa robustesse. La fabrication de toile et de sac en jute était stimulée par l'essor de la production agricole et industrielle consommatrice de sacs de toile. La fibre de jute, dont la production était localisée aux Indes britanniques, était bon marché et réputée pour sa solidité. L'industrie textile fit la prospérité de Beauval, dominée par la famille Saint pendant un siècle, des années 1850 à 1950[24].
La commune de Beauval est desservie de 1889 à 1949 par un chemin de fer secondaire à voie métrique de la Ligne d'Albert à Doullens. Cette ligne de chemin de fer permit le développement de l'extraction de phosphate découvert dans la commune en 1885 et de silex ainsi que le transport de la production de textile, briques, tuiles vers les centres de consommation de Doullens, Albert ou Amiens.
Des carrières de sable phosphaté ont été exploitées dans la commune. Appartenant à M. Bernard, elles étaient considérées comme épuisées à la fin du XIXe siècle[25],[26],[27]. Les propriétaires fonciers et se sont fait construire de belles maisons[28].
Beauval à la fin du XIXe siècle ou au tout début du XXe siècle
Gare de Beauval et usine Saint Frères.
Carrière de phosphate
La route d'Amiens et la rue de Bas, avec une voie du chemin de fer des carrières
L'ancienne église en 1887
La nef de l'ancienne église en 1887
Deuxième Guerre mondiale
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Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans la Somme, la liste menée par René Cazier obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 588 voix (60,06 %, 16 conseillers municipaux élus dont 4 communautaires), devançant très largement celle menée par Bernard Thuillier, qui a recueilli 391 voix (39,93 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire). Lors de ce scrutin, 26,56 % des électeurs se sont abstenus[31].
Lors d'élections partielles tenues en novembre 2017 à la suite de dissensions et de démissions en série dans la précédente équipe, la liste menée par Bernard Thuillier obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 416 voix, devançant celle de Christian Buffet, qui a recueilli 380 suffrages[32]
Au premier tour des élections municipales de 2020 dans la Somme, la liste menée par le maire sortant Bernard Thuillier[33] obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 463 voix (57,44 %, 15 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant nettement celle menée par Bernard Candas, qui a recueilli 343 voix (42,55 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire. Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 47,79 % des électeurs se sont abstenus[34].
Le est inaugurée l'école du Valençon, qui a coûté 5 millions d'euros[20]. Cet établissement compte alors cinq classes de maternelle et sept classes élémentaires. Une salle de repos, une salle de motricité et une salle d'accueil périscolaire complètent le dispositif qui comporte également une salle informatique et un Rased (Réseau d'aides spécialisées pour les élèves en difficulté)[49].
Équipements culturels
L'ancienne école primaire est reconvertie en 2020 pour constituer un pôle socio-culturel et sportif comprenant un dojo, une salle de danse, une bibliothèque, une médiathèque ou encore une salle de formation. L'équipement conçu par l'architecte Yves-Franck Kiki est évalué à 1 769 130 € TTC, dont 544 378 € € restent à la charge de la commune[50],[51].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[53].
En 2021, la commune comptait 1 984 habitants[Note 5], en évolution de −5,57 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Nicolas, construite en 1888 grâce aux financements des frères Saint (industriels du textile) par l'architecte amiénois Victor Delefortrie, qui a réalisé de nombreuses églises néo-gothiques en Picardie à la fin du XIXe siècle[55],[56], en remplacement de l'ancienne église du XIIe siècle[57],[58],[59],[60].
Parcours pédestre dit le « Circuit du Papillon », qui permet de découvrir la commune de Beauval et son passé industriel, avec un parcours de 10,700 km[63],[64].
Le cimetière de Beauval, sur trois hectares, lui aussi construit par la famille Saint, un des plus beaux du département[65],[66]. Il comprend notamment:
La chapelle funéraire de la famille Saint, édifiée par Victor Delefortrie, restaurée en 1994 ;
une partie militaire où reposent 234 soldats britanniques , 5 canadiens, 8 Australiens et un Néo-zélandais tués lors de la Première Guerre mondiale[67].
Friche industrielle Saint Frères, qui rappelle le passé textile de la commune. Le bâtiment administratif a été classé monument historique en 2015[68] ;
Oratoire Saint-Charles-Borromée, archevêque de Milan au XVIe siècle, en honneur à Charles Saint, donateur de l'église moderne[60].
Architecture urbaine en brique, typique des villes du Nord de la France et de Picardie.
Charles Saint, né à Beauval, industriel et homme politique, député de la Somme de 1894 à 1902. Il est l'un des créateurs de l'industrie du tissage mécanique du jute ; fabricant de toile et de sacs, il est membre du jury des expositions universelles de 1878 et de 1889, vice-président de la chambre de commerce d'Amiens, officier de la Légion d'honneur. et fonde au Tonkin de vastes exploitations agricoles[69].
Érika Sauzeau (1982), athlète paralympique française spécialiste de l'aviron, est originaire de Beauval et vit toujours dans la commune.
D'azur à trois gerbes d'avoine d'or posées deux et une[70].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze. Citation à l'ordre du régiment du : « vaillante et courageuse commune, atteinte par l'ennemi le 20 mai 1940, et qui n'en a pas moins continué, dans la clandestinité, le bon combat. Détention d'armes, seize de ses fils déportés ou internés, dont trois morts dans les camps de concentration. »
Détails
Les armes de la commune reprennent celles des seigneurs de Beauval figurant sur un sceau de Robert de Beauval de 1262 Le statut officiel du blason reste à déterminer.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ ab et cBenoit Delespierre, « Bernard Thuillier veut bâtir à long terme à Beauval : Le maire sortant se présente avec un projet et une équipe pour « ce mandat et les suivants », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Maire sortant, élu en décembre 2017 à la suite de dissensions et de démissions en série dans la précédente équipe, Bernard Thuiller, 65 ans « dont dix-neuf ans de mandats » se présente à la tête d'une équipe qui allie continuité et renouvellement ».
↑Delphine Cattoux, « Les projets pour la friche Saint Frères de Beauval ne manquent pas, mais qui va les porter? : La municipalité planche sérieusement sur la requalification de la friche située en bordure de la RN 25. Encore faut-il trouver les financements pour la voirie », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1138.
↑Benoit Delespierre, « Bernard Thuillier veut bâtir à long terme à Beauval : Le maire sortant se présente avec un projet et une équipe pour « ce mandat et les suivants », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Maire sortant, élu en décembre 2017 à la suite de dissensions et de démissions en série dans la précédente équipe, Bernard Thuiller, 65 ans « dont dix-neuf ans de mandats » se présente à la tête d'une équipe qui allie continuité et renouvellement ».
↑« Somme (80) - Beauval », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
↑Jean-Michel Schill, Dictionnaire du personnel politique du département de la Somme : 1787-2021, Amiens, Archives départementales de la Somme, , 2e éd. (1re éd. 2011), 566 p. (lire en ligne [PDF]), p. 358,.
↑Jean-Michel Schill, Dictionnaire du personnel politique du département de la Somme : 1787-2021, Amiens, Archives départementales de la Somme, , 2e éd. (1re éd. 2011), 566 p. (lire en ligne [PDF]), p. 81,.
↑Jean-Michel Schill, Dictionnaire du personnel politique du département de la Somme : 1787-2021, Amiens, Archives départementales de la Somme, , 2e éd. (1re éd. 2011), 566 p. (lire en ligne [PDF]), p. 28,.
↑Benoit Delespierre, « Françoise Boulogne, ancienne maire de Beauval, n'est plus : Elle avait succédé à son mari, Jacques Boulogne, à la fois dans l'entreprise et à la mairie », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Née au hameau Le Petit Selve à Bugny-lès-Gamaches, elle devint beauvalloise par sa rencontre avec Jacques Boulogne, le fondateur de l'entreprise locale de plasturgie qu'elle épousa en 1976 et qui fut président de la Chambre de commerce et d'industrie d'Amiens. Au décès de ce dernier, cette femme d'action et de projets lui avait succédé à la fois à la tête de l'entreprise et de la mairie, où elle se fit réélire en 1989 ».
↑« Les quatre adjoints au maire de Beauval démissionnaires : Le 22 août, ils ont envoyé chacun au préfet une lettre de démission de leurs fonctions au préfet », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« À Beauval, le maire Bernard Thuillier dans son fauteuil, mais… », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Ce samedi 23 mai, Bernard Thuillier a retrouvé sans surprise son fauteuil de maire avec 16 voix ».
↑« La transformation de l'ancienne école en pôle socio-culturel est en bonne voie à Beauval : Le conseil municipal de mardi soir a évoqué toutes les aides qui vont être demandées pour ce projet d‘un coût estimé à 1 900 000 € hors taxes. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Benoît Delespierre et Éric Sara, « C'est parti pour la future médiathèque à Beauval : Le conseil municipal a donné le coup d'envoi des travaux du pôle socio-culturel et sportif dans l'ancienne école. À un mois des élections, le sujet a fait débat », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bAndré Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 170 (ASINB000WR15W8).
↑« Le choix », 1914-1918 : Les monuments aux morts dans la Somme, sur monumentsauxmorts1418somme.com (consulté le ).
↑Martine Aubry, « Beauval (80630) », Les monuments aux morts France - Belgique - Autres pays, (consulté le ).
↑Émilie Da Cruz, « Le circuit du papillon à redécouvrir à Beauval : La commune a remis au goût du jour une balade de 10,7 km avec un balisage facilement repérable. De quoi voir les traces du riche passé industriel de Beauval. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Dans les allées du remarquable cimetière de Beauval : En cette période de Toussaint, certains cimetières méritent un regard différent, tel celui de Beauval, qui abrite notamment le mausolée de la famille Saint, qui a fait vivre des milliers de Samariens », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Benoit Delespierre, « Un pan de l'histoire de Beauval redoré : C'est le plus ancien vestige de la commune. La plaque de marbre située sur l'ossuaire de l'ancien calvaire a été rénovée bénévolement par Bernard Delvallez, l'ancien ébéniste, gardien amoureux du patrimoine local », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Un espoir pour la friche Saint-Frères de Beauval (80) : Le maire de Beauval rencontrera le 9 février le directeur de l'Opsom pour étudier la possibilité de transformer les anciens bâtiments administratifs en logements adaptés », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).