Au début de la bataille, les troupes de Lech le Blanc prennent l’avantage, mais en fin de journée, les Silésiens réussissent à retourner la situation au profit de Mieszko III sans que cela permette à celui-ci de prendre un avantage significatif, chaque camp restant finalement sur ses positions, faute de combattants.
C'est une des batailles les plus sanglantes de l’époque du démembrement féodal en Pologne (Mieszko III lui-même y a été blessé, son fils Boleslas de Cujavie y a été tué). Elle contribue à approfondir les divergences et à nourrir les rancunes entre les différents ducs polonais, accélérant ainsi le morcellement du territoire.