Barbizon est un des endroits mythiques de la peinture pré-impressionniste en France. Dès 1830, ce qui est encore un hameau de bûcherons accueillera à l'auberge Ganne, les peintres qui viennent chercher l'inspiration auprès de la nature intacte. Plus tard, ils partagent leurs séjours entre Barbizon et Chailly-en-Bière, trouvant leurs sujets dans la campagne ou la forêt de Fontainebleau toute proche, peignant sur le motif.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 681 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontainebleau à 8 km à vol d'oiseau[9], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,1 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de 75 567 ha. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuités écologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)[14],[15],[16].
La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », est un autre espace protégé créé en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (zone centrale, zone de transition et zone tampon). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[17],[18],[19],[20].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » :le « Massif de Fontainebleau »[22]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes gréseuses alternent avec les vallées sèches. Les conditions de sols, d'humidité et d'expositions sont très variées. La forêt de Fontainebleau est réputée pour sa remarquable biodiversité animale et végétale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espèces de coléoptères, 1 200 de lépidoptères) ainsi qu'une soixantaine d'espèces végétales protégées[23].
Urbanisme
Typologie
Au , Barbizon est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24].
Elle appartient à l'unité urbaine de Chailly-en-Bière[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[25],[Insee 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[Insee 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (50,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
40,61 % de terres arables,
38,30 % de zones urbanisées,
14,79 % de forêts et
6,29 % de zones agricoles hétérogènes[28].
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
186,06 ha
34,59 %
206,05 ha
38,30 %
20,00 ha
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
272,30 ha
50,62 %
252,32 ha
46,91 %
−19,97 ha
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, zones agricoles hétérogènes, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
79,59 ha
14,79 %
79,56 ha
14,79 %
−0,02 ha
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[29],[30],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Au dernier recensement de 2021, la densité était de 255 habitants/km2.
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 831, alors qu'il était de 767 en 1999[Insee 2].
Parmi ces logements, 70,9 % étaient des résidences principales, 14,8 % des résidences secondaires et 14,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,9 % des appartements[Insee 3].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 82,6 %, en hausse très sensible par rapport à 1999 (66,2 %)[Insee 4].
la ligne no 19, qui relie Arbonne-la-Forêt à Melun (gare de Melun) ;
la ligne no 21, qui relie Saint-Fargeau-Ponthierry à Avon ;
la ligne no 23, qui relie Saint-Fargeau-Ponthierry à Avon.
Toponymie
Barbitio est mentionné en 808 dans un document de Charlemagne. La commune est mentionnée en 1222 sous le nom de Barbuison et en 1392 sous le nom de Barbiron. La commune est indépendante depuis le , après la séparation d'avec Chailly-en-Bière.
Dès les années 1850, des étrangers de l’Europe entière, de Russie, des États-Unis, inscrits dans les ateliers parisiens, vont se joindre à leurs camarades français pour venir à Barbizon, à partir du printemps.
En 1867, l’hôtel Siron (actuel Bas-Bréau), appelé aussi de « l’exposition », car l’aubergiste a l’idée d’ouvrir une salle d’exposition pour les œuvres des artistes de passage, accueille une nouvelle clientèle de peintres et aussi d’écrivains, souvent étrangers, comme Robert Louis Stevenson par exemple, qui vont essaimer jusqu’à la fin du siècle à Marlotte, Grez-sur-Loing ou Moret-sur-Loing.
Ainsi, très tôt, le nom de Barbizon fut connu ; plusieurs articles de L'Illustration eurent comme sujet des reportages sur l’auberge Ganne et ses décors peints par les artistes[32].
À partir des années 1850, le chemin de fer permet d'accéder à Melun ou Fontainebleau encore plus rapidement, même s'il restait encore une dizaine de kilomètres à faire à pied pour arriver sur les lieux, avant qu'à la fin du XIXe siècle un petit train ne soit créé de Melun à Barbizon[32]. Ainsi, Barbizon supplante peu à peu Chailly, d'abord par l'affluence des visiteurs, mais aussi par la qualité de cette société cosmopolite de peintres, d'écrivains et de musiciens[32]. Et pourtant, cent ans plus tard, malgré le renom international donné à Barbizon par ses peintres, l'église au fond du tableau le plus célèbre de Jean-François Millet est celle de Chailly ; le père Chicoré, célèbre berger, immortalisé par Jean-Ferdinand Chaigneau, demeurait à Chailly-en-Bière. Barbizon conserve toujours le « chemin de messe » qui conduisait les Barbizonnais à Chailly, et enfin reposent côte à côte dans le cimetière de Chailly les deux grands amis qui ont donné sa célébrité à Barbizon, Jean-François Millet et Théodore Rousseau[32].
Cependant, le hameau de Barbizon va se transformer ; de nombreux hôtels s'ouvrent et des villégiatures à louer ou à acheter sont construites, tandis que Chailly reste une bourgade rurale, concentre tous les commerces et profite de l'apport des visiteurs de Barbizon. Barbizon se considère alors comme la « vache à lait » de Chailly. La séparation administrative était devenue inéluctable, c’est la fin du vieux Barbizon des peintres, le hameau de Barbizon devient commune, à part entière, en 1903[32].
East Bergholt (Royaume-Uni) depuis 1987. Le jumelage est présidé par Jean-Sébastien Bouillot depuis 2014.
Des échanges culturels et artistiques ont lieu par ailleurs entre Barbizon et la ville d'Asago (Japon) depuis 2008[34].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1906. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2021, la commune comptait 1 241 habitants[Note 7], en évolution de +5,8 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Barbizon vit essentiellement du tourisme national et international. La haute saison touristique de Barbizon s’étend de Pâques à octobre. Il s’agit de 35 000 visiteurs par an, selon les données de l’ancien office du tourisme. Près de 60 % de la clientèle est individuelle et française et la clientèle restante est étrangère : Européens (Anglais, Allemands, Belges, Hollandais), les pays de l’Est et la Russie ; les clientèles en provenance des pays plus lointains : États-Unis, Chine, Japon, Corée, Australie, Brésil pour les principales.
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 364, occupant 392 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 60,1 % contre un taux de chômage de 8,2 %.
Les 31,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 12,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 10,7 % de retraités ou préretraités et 8,3 % pour les autres inactifs[40].
Entreprises et commerces
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 227 dont 9 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 12 dans la construction, 72 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 8 dans l’information et communication, 6 dans les activités financières et d'assurance, 16 dans les activités immobilières, 48 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 33 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 23 étaient relatifs aux autres activités de services[41].
En 2019, 31 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 20individuelles.
Au 1er janvier 2020, la commune disposait de 74 chambres d’hôtels dans 4 établissements et ne possédait aucun terrain de camping[42].
En 2020, l'atelier de Bérengère tenue par Bérengère Evain "meilleur ouvrier de France lunetière" et "maître artisan d'art" ouvre son atelier de lunettes sur mesure[43].
no 12 : le gendre du père Ganne y ouvrit en 1870 une annexe de l'auberge Ganne qu'il baptisa villa des artistes. Une plaque rappelle que le peintre roumain Nicolae Grigorescu (1838-1907) y fut hébergé à partir de 1861. Un peu plus loin sur le trottoir d'en face se dresse la mairie dans un parc ;
no 13 : autrefois annexe de l'hôtel de la Forêt, elle fut la demeure du peintre Louis Masson, puis d'un richissime hollandais du nom de Komeweiler avant de devenir l'hôtel de ville de Barbizon en 1955. Elle conserve des toiles de Ferdinand Chaigneau et une grande cheminée sculpté par Gallicie ;
no 14 : domicile du dessinateur et écrivain André Rouveyre (1879-1962) ;
no 15 : La Clairière, maison du peintre Charles Ferdinand Ceramano (1829-1909) (plaque commémorative sur la façade) ;
no 20 : ancienne demeure du baron belge Victor de Papeleu qui acheta L'Angélus à Millet en 1859 pour 1 000 francs-or. Il était également peintre et fut l'élève de Jules Dupré. La maison passa ensuite au compositeur Georges Krier (1872-1946). Elle est devenue la Poste centrale de Barbizon ;
no 21 : maison du paysagiste Charles-François Daubigny (1817-1878), devenue l'hôtel Les Pléïades en 1920 ;
no 22 : hostellerie du Bas-Bréau, ancienne auberge Siron, créée en 1867 et devenue plus tard l'hôtel des expositions. Deux plaques rappellent que l'écrivain écossais Robert Louis Stevenson (1850-1894) y demeura de 1873 à 1877, ainsi que le peintre hongrois Ladislas de Paal (1846-1879) de 1873 à 1876. L'empereur du Japon Hirohito (1901-1989) y fut reçu avec tous les honneurs, le . François Mitterrand (1916-1996) y reçut[Quand ?] les Dix de la Communauté économique européenne pour y parler de l'avenir de l'Europe ;
no 24 : maison du peintre et graveur animalier Charles Jacque (1813-1894) (plaque commémorative sur la façade) ;
no 26 : maison du sculpteur animalier et peintre Antoine-Louis Barye (1796-1875) (plaque commémorative sur la façade). Actuel emplacement de l'auberge la Flambée, qui remplaça un salon de thé-confiserie ;
no 27-29 : maison-atelier de Jean-François Millet (1814-1875), il y demeura de 1849 à 1875 avec sa famille. Il y peignit sa célèbre toile L'Angélus. Devenu musée en 1922, où les visiteurs peuvent découvrir l'atelier et la maison, il a fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le [44] ;
no 32 : la villa Élisabeth, propriété où s'installa l'écrivain Roland Dorgelès (1885-1973) ;
no 38 : maison du peintre et graveur suisse Karl Bodmer (1809-1893), inhumé à Chailly-en-Bière, et de son fils Rodolphe Bodmer (1856-1923), artiste peintre inhumé au cimetière communal ;
no 40 : ancienne auberge des Charmettes, qui reçut entre autres le peintre suisse Karl Bodmer (1809-1873). Abrite une galerie d'art.
no 55 : maison de Théodore Rousseau (1812-1867), qu'il occupa de 1847 à sa mort, et dont la grange fut transformée en chapelle sous le vocable de Saint-Paul puis en 1950, en la chapelle Notre-Dame-de-la-Persévérance de Barbizon. Son clocher fut dessiné par Charles Millet, le fils du peintre Jean-François Millet. Le monument aux morts, Le Gaulois, érigé devant cette église sur la petite place qui fut le jardin de Rousseau, est l'œuvre du sculpteur Ernest Auguste Révillon (1854-1937). La petite maison de deux pièces est une annexe du musée départemental de l'École de Barbizon ;
no 54 : maison de Félix Ziem (1821-1911), il l'occupa de 1907 à sa mort (plaque commémorative sur la façade) ;
no 73 : en face l'auberge Ganne, l'établissement la Clé d'or était un relais à chevaux avant 1898. Tenu par la fondatrice, Mme Allilaire, femme du serrurier du village, elle choisit ce nom et une grosse clé d'or pour enseigne. En 1946, François Périer et Daniel Gélin s'y installent pour tourner La Tentation de Barbizon, dans lequel apparaît Louis de Funès dans une figuration ;
no 92 : l'auberge Ganne, devenue le musée des Peintres de Barbizon, musée départemental consacré à l'École de Barbizon. Elle a été ouverte en 1824. Le décor et le mobilier décorés par les artistes sont d'époque. Le musée conserve quelques œuvres d'artistes du XIXe siècle liés à Barbizon. Il fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le [45]. S'y trouve aussi la maison-atelier Théodore Rousseau, annexe du musée. C'est une maisonnette retirée au fond d'un jardin. Théodore Rousseau vécut ici de 1847 à sa mort, vingt ans plus tard ;
no 94 : dans l'immeuble les Glaneuses, face à l'auberge de la Clé d'or, Raimu tourne dans Le Bienfaiteur d'Henri Decoin en 1942.
Rue Antoine-Barye
no 4 : ancienne villa les Alouettes, propriété construite en 1883 par l'essayiste Gabriel Séailles et son épouse l'artiste peintre Octavie Charles Paul Séailles. Bâtiment aujourd'hui transformé en hôtel-restaurant.
Maison de la culture : elle conserve un bas-relief en plâtre d'Henri Chapu représentant les portraits de Théodore Rousseau et Jean-François Millet (1884), dont un tirage en bronze de la fonderie Barbedienne orne un rocher en lisière de la forêt de Fontainebleau.
Plaine de l'Angélus
Villa Le Chaperon rouge, propriété de l'actrice Mireille Perrey.
« De sinople aux cinq pinceaux renversés d'or posés en éventail et chargés de sable, à la palette de peintre aussi d'or tachetée aussi de sable brochant sur le tout. »
Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN2-84234-100-7), « Barbizon », p. 1197–1202
René Housson, Histoire du tramway sud de Seine-et-Marne : Melun - Barbizon - Milly, Dammarie-les-Lys, Amatteis, , 110 p. (ISBN2-86849-017-4)
70 illustrations, trois planches dépliantes avec les plans des voies des gares.
Roger Karampournis, Si Barbizon m'était comté, Éditions Amatéis, 1996.
Roger Karampournis, Barbizon d'hier et d'aujourd'hui, Héricy, Éditions du Puits Fleuri, 2002, 288 p. (ISBN2-86739-197-0).
Patrick Mérienne, Jean-Pierre Hervet, Forêt de Fontainebleau, randonnées et découvertes, Éd. Ouest-France, 2013, p. 40-43, 143 p. (ISBN978-2-7373-5855-5).
Ce livre est tiré de l'émission Le village préféré des français, diffusée par France Télévisions, conçue et produite par Morgane Production : Barbizon, pages 114 à 119** I - De la baie de Somme au littoral charentais en passant par la Bretagne,** II – Des Flandres au Jura en passant par l'Alsace,** III – De l' Île-de-France aux monts d'Auvergne en passant par la Bourgogne,** IV – Du littoral atlantique aux Alpes en passant par la Méditerranée.
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Chailly-en-Bière comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
↑Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )