La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 12,68 km[9].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10].
La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[11]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse ». Cet organisme intervient sur deux compétences gérées aux niveaux des bassins hydrographiques et global : la Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations (GeMAPI) et la démoustication[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 692 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Brosse-Montceaux à 11 km à vol d'oiseau[15], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 652,9 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[20] :
la « Bassée », d'une superficie de 1 403 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine. Elle abrite la plus grande et l’une des dernières forêts alluviales du Bassin parisien ainsi qu’un ensemble relictuel de prairies humides[21],[22] ;
la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche[23],[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Balloy comprend cinq ZNIEFF de type 1[Note 2],[25] :
la « héronnière de Gravon » (54,46 ha), couvrant 2 communes du département[26] ;
les « plans d'eau de Chancelard » (123,65 ha), couvrant 2 communes du département[27] ;
les « plans d'eau de Gravon » (28,62 ha), couvrant 2 communes du département[28] ;
les « plans d'eau de la Ferme de Roselle » (79,85 ha)[29] ;
les « Zones humides de Champmorin » (171,05 ha), couvrant 2 communes du département[30] ;
et un ZNIEFF de type 2[Note 3],[25], la « vallée de la Seine entre Montereau et Melz-sur-Seine (Bassee) » (14 216,75 ha), couvrant 26 communes du département[31].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Balloy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[32].
Elle est située hors unité urbaine[33]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[33]. Cette aire regroupe 1 929 communes[34],[35].
Les plus importants sont : Sigy, Maison de la Seine (ferme).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,5% ), eaux continentales[Note 7] (26,2% ), forêts (8,5% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,7% ), mines, décharges et chantiers (3% ), zones agricoles hétérogènes (2,8% ), zones urbanisées (2,2 %)[37].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[38],[39],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le et approuvé le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[40].
De l’anthroponyme latin Ballus et du suffixe -cum, « domaine de Ballus »
Histoire
Préhistoire
Gros-Bois
Site du Néolithique moyen[43] à Gros-Bois[44], qui montre une connexion entre la Bourgogne et le bassin du Rhin[45].
Les Réaudins
Complexe néolithique[46] (rare association de carapace de tortue à une sépulture[47],[48]), suspecté en 1985 et révélé en juin 1986 lors d'une prospection aérienne par André Heurtaux[49]. Trois sites sont détectés, répartis en deux ensembles : « les Réaudins » et « les Terres de Citeaux » d'une part, et d'autre part « les Défriches » à environ 1 km à l'ouest du premier ensemble[50].
Une première campagne de décapage du site se déroule du 11 au 20 avril 1987, suivie d'une deuxième campagne du 17 août au 19 septembre 1987[51]. Les études se poursuivent avec des campagnes de fouilles de 1 à 2 mois chaque été, dans le cadre d'un programme commencé par la Circonscription des Antiquités préhistoriques en 1987. En 1994, 50 000 m2 ont été fouillés. Le site a livré :
une enceinte fermée à fossé interrompu d'environ 1,5 ha[52] et une fosse, attribuées à la culture de Cerny-Barboise, Néolithique moyen I, vers 3 600 av. J.C.[50] ;
une occupation du Néolithique moyen récent, vers 3 200 av. J.C. Ces vestiges se trouvent dans un chenal comblé par des sédiments, ce qui facilite l'étude paléo-environnementale[50] ;
des vestiges funéraires et d'habitat datés du Bronze final (environ 1 200-800 av. J.C.)[50]
une structure de la Tène finale peut-être apparentée aux sanctuaires gaulois[50].
Éloignés de l'enceinte à fossé interrompu par des distances allant de 50 à 300 m, se trouvent 17 enclos délimités par des tronçons de fossé, les principales concentrations de monuments funéraires (type Marolles-Passy), et une cinquantaine de sépultures dont plus de la moitié associées directement aux monuments[52].
Site gallo-romain du bois de Roselle
Découvert à l'occasion de repérages d'archéologie préventive dans les carrières de granulats de la Bassée, le site du bois de Roselle comprend un établissement gallo-romain clôt de 200 × 90 m occupé de la seconde moitié du Ier siècle à la fin du IIIe siècle ou au plus tard au tout début du IVe siècle. Il a peut-être aussi été occupé sporadiquement à la fin du IVe siècle ou au Ve siècle. À l’est et au sud-est se trouve un petit enclos, et quelques fossés et fosses de la première moitié du Ier siècle. à 100 m à l’est se tient un enclos et des inhumations des IIe – IIIe siècles. À 200 m au nord-est un fossé d'un enclos rituel de la Tène finale contient une incinération du Ier siècle. Et à 200 m à l'ouest se trouve un petit enclos de destination incertaine[53].
Trois fosses de l'enclos principal ont livré du mobilier céramique abondant. L'architecture atypique ne donne pas d'indication claire de la destination des bâtiments. J.-M. Séguier penche pour un caractère domestique possible, avec un bâtiment mixte habitation et stockage, et des dépotoirs adjoints. Mais ce bâtiment principal pourrait aussi être un édifice cultuel, avec une des fosses servant d'exutoire pour les offrandes - cette hypothèse étant soutenue par une série abondante de vaisselle métallique et autre mobilier métallique dans deux fosses ; cependant il n'y a pas de vestiges osseux (absence probablement due à de mauvaises conditions de conservation), et l'assemblage de vaisselle ressemble aux mobiliers domestiques contemporains dans la zone de confluence Seine-Yonne[54].
La céramique des trois fosses du site est datée de la seconde moitié du IIIe siècle[55]. Elle inclut des pièces provenant des ateliers d'Argonne (Gaule de l'est ; sigillée)[56], des ateliers de Domecy-sur-Cure et des ateliers de Gueugnon (Gaule du centre ; céramique à parois fines, métallescente). Une amphore provient d'Espagne[57]. Des dérivés de sigillée viennent des ateliers de Jaulges-Villiers-Vineux[58] ainsi qu'une Dragendorff 37 portant un grand ove et la plupart des gobelets à parois fines et revêtement métallescent[59].
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Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [62],[63].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Balloy ne dispose pas d'assainissement collectif[64],[65].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[66]. La communauté de communes de la Bassée - Montois (CCBM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[64],[67].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bassée Montois[70].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[71]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[72].
En 2021, la commune comptait 343 habitants[Note 9], en évolution de +5,21 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 41, occupant 147 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 75,3 % contre un taux de chômage de 6,3 %.
Les 18,4 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 6,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,4 % de retraités ou préretraités et 4,7 % pour les autres inactifs[76].
Entreprises et commerces
Exploitations agricoles, carrières, sablières.
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 16 dont 3 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 2 dans la construction, 6 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 1 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 1 était relatif aux autres activités de services[77].
En 2019, 4 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 3individuelles.
Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[78].
Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN2-84234-100-7), « Balloy », p. 41–42
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Daniel Mordant, « Le Néolithique du Gros-Bois à Balloy (S.-et-M.) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 64, no 2 « E&T », , p. 347-370 (lire en ligne).
↑Claude Constantin et Daniel Mordant, « Gérard Bailloud et le Néolithique du Bassin parisien », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 108, no 3, , p. 505-520 (lire en ligne, consulté en ), p. 515.
↑Philippe Chambon et Daniel Mordant, « Monumentalisme et sépultures collectives à Balloy (Seine-et-Marne) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 93, no 3, , p. 396-402 (lire en ligne).
↑Renaud Gosselin et Anaïck Samzun, « Un dépôt associé à une sépulture de la fin du Néolithique ancien à Buthiers-Boulancourt (Seine-et-Marne, France). Approche tracéologique et techno-fonctionnelle du mobilier lithique », Préhistoire Anthropologie Méditerranéennes, no 14 « La valeur fonctionnelle des objets sépulcraux », , p. 91-104 (lire en ligne, consulté en ), paragr. 14.
↑Philippe Chambon, « La nécropole de Balloy les Réaudins, approche archéo-anthropologique », dans Claude Constantin, Daniel Mordant et Daniel Simonin, La culture de Cerny, nouvelle économie, nouvelle société au Néolithique (Actes du colloque international de Nemours, 1994), coll. « Mémoires du musée de Préhistoire d'Île-de-France » (no 6), (lire en ligne [PDF]), p. 489-498.
↑Yves Lanchon et F. Maubert, Prise en compte du patrimoine archéologique dans les opérations d'exploitation des carrières, BRGM, , 216 p. (lire en ligne [PDF]), « L'opération-pilote de Balloy (Seine-et-Marne) », p. 156-195 (voir aussi p. 84). Prospection aérienne : p. 157.
↑ a et bAnne Augereau, Patrick Gouge, Daniel Mordant et Jean-Marc Séguier, « Archéologie préventive dans les carrières de granulats de la Bassée (Seine-et-Marne). Découvertes récentes et perspectives de recherches », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 91, no 3, , p. 179-181 (lire en ligne, consulté en ).
↑Jean-Marc Séguier, « La céramique de trois contextes de la seconde moitié du IIIe siècle de l'établissement antique du Bois de Roselle à Balloy (Seine-et-Marne) », Dioecesis Galliarum « document de travail no 7 », , p. 35-48 (lire en ligne), p. 35.
↑« Décès de Rémy Anquetin, le maire de Balloy : Rémy Anquetin, maire de Balloy depuis 2001, est décédé ce dimanche 7 juin des suites d'une longue maladie », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).