Rattaché à l'évêché de Metz (pour le spirituel), il était gouverné par la coutume générale de Lorraine. Excepté : Cocheren, Morsbach, Folckling, la cense de Gensbach, Henriville, Bening, Seinbouze et la Valette. Eux étaient régis par celle de l'évêché de Metz.
D'après M. Durival, au début du XVIIIe siècle, la langue française existait à peine dans ce bailliage. Plus tard dans les années 1770, elle y était parlée assez communément.
Par ailleurs, via l'édit de Stanislas du mois de , il fut ordonné que les procédures, sentences et actes des notaires s'y feraient en langue française.