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Aurélie Mossé (1984-) est une designer-chercheuse et enseignante en design franco-suisse. Elle participe de la reconnaissance du design textile et du biodesign comme champ de recherche en France comme en Europe[1].
Biographie
Formée au design textile, matériaux, surface à l'Ecole Duperré puis à Central Saint Martins, Aurélie Mosse est titulaire d'un doctorat de recherche en design de la Royal Danish Academy[2]. Sa pratique du design est prospective[3],[4]. Ses recherches se portent aussi bien sur la création de textiles actifs[5] comme sur les enjeux de matériaux façonnés par des processus microbiologiques[6].
Elle co-fonde en 2015 le groupe de recherche Soft Matters[7] à l’Ensadlab, le laboratoire de recherche par l'art et le design de l'Ecole des Arts Décoratifs, contribuant à l’émergence d’une première génération de docteurs en design textile et design vêtement français dont l'artiste Jeanne Vicérial.
Visionnaire textile [8], elle est la première chercheuse en design en France à se voir attribuer un financement Jeune Chercheuse Jeune Chercheur de l'Agence Nationale de la Recherche[9].
Depuis 2023, elle a rejoint le comité de pilotage du nouveau groupe d’intérêt spécial (SIG) destiné à la recherche interdisciplinaire textile de la Design Research Society (DRS)[10].
Elle mène,en parallèle de ses recherches sur les nouveaux matériaux, une réflexion sur les enjeux de mémoire et de transmission par le prisme de la création à partir de son héritage familial, une réflexion matérialisée dans le livre l'Accent fantôme et autres impressions séfarades[11],[12],[13].
Bibliographie
La mode comme indiscipline, par Mathieu Buard, Céline Mallet et Aurélie Mosse, aux éditions B42, 2024
L'accent fantôme et autres impressions séfarades, par Aurélie Mosse, aux Presses Universitaires de Vincennes, 2023