Augustin Barrachin reprend des installations des frères Raux, notamment le haut-fourneau de Signy-le-Petit dès 1815, et devient à son tour un important maître de forges ardennais[1].
Il est élu député par le 1er collège électoral de ce département (Mézières) le . Il siège dans la majorité conservatrice et s'associe, durant la législature, à tous les votes en faveur du ministère. En avril 1833, dans l'affaire du journal La Tribune, il est au nombre des députés qui déclarent ne pas s'abstenir et qui se prononcent pour la condamnation du gérant du journal, Lionne. Il n'est pas réélu le [2],[Note 1].
Maya Bennani, Bruno Decrock, François Griot et Julien Marasi, Patrimoine industriel des Ardennes, Langres, Éditions Dominique Guéniot, , 288 p. (ISBN978-2-87825-458-7, lire en ligne), « Usine métallurgique, puis usine de petite métallurgie des Haut Fourneau Forges et Fonderies Barrachin, actuellement usine liée au travail du bois OLFA », p. 247-248.