Auguste Félix Désaugiers est secrétaire de légation à Rome puis consul à Copenhague pendant 20 ans[4]. A son retour en France, en 1815, il se consacre à une carrière de librettiste et de dramaturge. Il a composé des odes qui furent peu remarquées, et des tragédies lyriques qui n'ont pu être représentées. Il est également l'auteur en 1835 d'une traduction des Bucoliques (ou Églogues) de Virgile[5].
Écrits
Livrets d'opéra
Les Danaïdes (1817), opéra
Virginie, ou les Décemvirs (1823), tragédie lyrique en trois actes, musique d'Henri-Montan Berton
Odes
Ode sur la descente projetée en Angleterre (1798)
La Paix (1802), publiée à Copenhague
La Gloire des armées françaises, ou La Troisième coalition (1809), chant héroïque
Cantate pour la fête de Louis XVIII, 25 août 1814
Cantate pour la fête de Charles X, 4 novembre 1825[4]
↑Registre paroissial de Fréjus (1760-1768), 7 E 65/4, Archives départementales du Var, 323 p. (lire en ligne), p. 269
↑ a et bJean-Chrétien-Ferdinand Hœfer, Nouvelle biographie universelle depuis les temps les plus reculés à nos jours, Tome treizième, Paris, Firmin Didot frères, (lire en ligne), p. 744
↑Auguste Wahlen, Nouveau dictionnaire de la conversation, Tome neuvième, Bruxelles, Librairie Historique-Artistique, (lire en ligne), p. 419
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