Atlantic Avenue a été en partie financé par un appel aux dons sur le site Indiegogo.
L'actrice principale et son personnage sont atteintes d'ostéogenèse imparfaite, maladie plus connue sous le nom de maladie des os de verre.
Les plans fixes de structures métalliques et autres éléments urbains contrastent avec la maladie dont est atteinte la jeune Céleste.
Un "face caméra" statique est utilisé par la réalisatrice. Il peut être interprété comme le moment de la prise de décision ou le passage à la vie adulte.
« [...] Atlantic Avenue, l’intrigant film de Laure de Clermont-Tonnerre, met également en rapport le sexe et l’argent. Une adolescente en fauteuil fait de l’œil à un beau mâle. Elle l’ignore mais il s’offre aux hommes contre des espèces. Jusqu’où ira-t-elle pour vivre une histoire avec lui ? En humanisant deux personnages considérés comme des êtres à part entière et non pas des symboles, cette œuvre reconfigure notre regard sur la féminité et la marginalité [...] »[2].
Internet
LDV Television, Vu en Court - Rencontre avec Laure De Clermont,