Un premier système de romanisation conçu en 1901 par Arnold Vissière est à l'origine du système de l'École française d'Extrême-Orient adopté par le ministère des affaires étrangères et l'École française d'Extrême-Orient, avec de légères variantes[3].
Influences
Il a eu pour disciple Paul Mus en chinois.
C'est sur ses conseils[4], que Victor Segalen, qui s'est initié à la langue et à la civilisation chinoises en suivant ses cours, continue son cursus à Brest auprès d'un chinois de Hankou.
Sa collection de cartes chinoises du temps des Qing est visible au Musée Guimet[5].
Ouvrages
Méthode de transcription française des sons chinois, adoptée par le Ministre des Affaires ètrangères (Extrait du Bulletin du Comité de l'Asie Française.) Paris, 1902[6]
Recherches sur l'origine des l'abaque chinois et sur sa dérivation des anciennes fiches à calcul, in "Bulletin de géographie historique et descriptive", Paris, 1892[7].
Le Divorce dans le nouveau droit chinois, La Revue du Pacifique, 1923
Le Code commercial et les chambres de commerce de la République chinoise, 1923
Premières leçons de chinois, langue mandarine de Pékin, Imprimerie ci-devant E.J. Brill, 1909