Słonimski passe les années de guerre en exil en Angleterre et en France. Il dirige, de 1946 à 1948, la Section internationale de littérature et de théâtre de l'UNESCO[6]. Il retourne en Pologne en 1951[2],[3]. Il collabore à des périodiques populaires : Nowa Kultura (1950-1962), Szpilki (1953-1973) et Przegląd Kulturalny[5]. Il est un anti-stalinien actif et partisan de la libéralisation. En 1964, il est l'un des signataires et le principal auteur de la Lettre des 34(en) au Premier ministre Józef Cyrankiewicz concernant la liberté de la culture[7]. Słonimski meurt le dans un accident de voiture à Varsovie[6],[8].
↑ a et b(en) Czeslaw Milosz, The History of Polish Literature, University of California Press, , 583 p. (ISBN9780520044777, lire en ligne), p. 393-395
↑ a et b(en) Czeslaw Milosz, Postwar Polish Poetry, University of California Press, , 191 p. (ISBN9780520044760, lire en ligne), p. 5
↑(en) Adam Teller, Magda Teter et Antony Polonsky, Polin: Studies in Polish Jewry : Social and Cultural Boundaries in Pre-Modern Poland, vol. 22, Liverpool University Press, , 511 p. (ISBN9781802079456, lire en ligne), p. 424
↑ a et b(pl) Culture.pl, « Antoni Słonimski » , sur culture.pl (consulté le )
↑ a et b(pl) « Antoni Słonimski » , sur encyklopediateatru.pl, (consulté le )
↑(en) Todd M. Endelman, Zvi Gitelman et Deborah Dash Moore, The Posen Library of Jewish Culture and Civilization : Crisis and Creativity Between World Wars, 1918-1939, vol. 8, Yale University Press, , 1384 p. (ISBN9780300135527, lire en ligne), p. 1180
↑(en) Patrick Parrinder et John S. Partington, The Reception of H.G. Wells in Europe, Continuum, (ISBN0826462537), p. 140