Ses ouvrages constituent des recueils de faits historiques le plus souvent liés à la ville de Lyon tirés de ses lectures que sa qualité de bibliothécaire de la ville lui permet[5].
Il a épousé sa cousine Anne Antoinette Breghot du Lut (1789–1865), sœur de l'avocat Claude Bréghot du Lut[6]. Il est souvent confondu avec son frère cadet Marc-Antoine Péricaud (1784–1864), avocat à la Cour de Lyon et au tribunal de commerce de cette ville[7].
↑Liste générale des contre-révolutionnaires de Lyon qui ont été condamnés à la guillotine par le Tribunal révolutionnaire, depuis le 10 brumaire jusqu'au 9 frimaire inclusivement de l'an II, p. 2 (lire en ligne).
↑Antoine Péricaud, Fragment historique. 1793, J.-M. Barret, Lyon, 1827, pp. 1–2 (lire en ligne).
Gustave Vapereau, Dictionnaire universel des contemporains, Volume 2, Hachette et Cie, Paris, 1870, p. 1422 (lire en ligne).
Léopold Nièpce, La bibliothèque de Antoine Péricaud : ancien bibliothécaire de la ville, Imprimeur d'Aimé Vingtrinier, Lyon, 1875 (lire en ligne).
Gérard Bruyère, « Pro Patria colligit : le bibliophile Louis Coste (1784-1851) et sa Bibliothèque lyonnaise », dans Union des sociétés historiques du Rhône, Actes des Journées d'études, XXVI (2013), Caluire-et-Cuire et sa région, [Lyon], USHR, 2013, p. 57-93, [4] ill. en noir.
Maryannick Lavigne-Louis et Dominique Saint-Pierre (dir.), « Péricaud, Antoine », dans Dictionnaire historique des Académiciens de Lyon : 1700-2016, Lyon, éd. ASBLA de Lyon, (ISBN978-2-9559-4330-4, présentation en ligne), p. 990-992.