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Il a rejoint la Société de géographie en 1839[3] et y a publié des ouvrages de géographie agréés par l’Instruction publique comme :
Nouveaux élémens de géographie à l'usage des écoles primaires, 1839 ;
Atlas universel historique et géographique (“adopté par le Conseil de l’Université pour être placé dans les bibliothèques des lycées et des collèges”), 1850 ;
Atlas historique et geographique de la Russie, la Suede, la Norwege et le Danemarck a la fin du IXe siècle.
On peut y ajouter trois atlas en langue espagnole[4] : Atlas historico de Francia (1840), Atlas histórico de España (1841) et Atlas histórico de Inglaterra (1842).
Son ouvrage Étude sur la signification des noms de lieux en France[5], publié en 1864, regroupe ses principaux articles de toponymie initialement publiés depuis 1861 dans la Revue archéologique et titrés en « Recherches sur l’étymologie de quelques noms de lieux ».
Quatre autres articles seront publiés dans la même revue en 1866, 1867 et 1869, et titrés « Études sur quelques noms de lieux ».
Sylvain Venayre, spécialiste du XIXe siècle et de l'histoire des représentations, a dit de ses travaux, dans Les Origines de la France. Quand les historiens racontaient la nation :
Sous le Second Empire, l'avènement de la notion de frontière linguistique sanctionna cette évolution qui faisait coïncider, de plus en plus étroitement, l'ordre de la langue et celui de la géographie. Les recherches sur l’histoire des toponymes en témoignent.Favorisées par l'intérêt de Napoléon III pour la Gaule romaine, elles contribuèrent à penser les liens du territoire et de la langue. Publiée en 1864, l'Étude sur la signification des noms de lieux en France, d'Antoine Houzé, fut ainsi suivie, quatre ans plus tard, du grand livre de Jules Quicherat.