39 : Hérode Antipas est destitué pour entente avec les Parthes, peut-être sur dénonciation d'Agrippa Ier, et exilé en Gaule par les autorités romaines avec son épouse[12].
Vers 39-40 : interprétation symbolique de la Torah par l'érudit juif Philon d'Alexandrie (Allégorie), qui se rend en ambassade auprès de Caligula pour défendre les juifs alexandrins[13].
↑Pour la majorité des chercheurs. Cependant d'autres dates sont proposées ; « Blinzer (Prozess, p. 101-102) a énuméré les options d’environ cent auteurs concernant l’année de la mort de Jésus : aucun de ceux qu’il cite n’a opté pour l’an 34 (en fait, c’est le cas de Zeitlin) ou 35, alors qu'un à trois d’entre eux privilégiaient respectivement les années 26, 27, 28, 31, 32 et 36. Treize ont opté pour 29, cinquante-trois pour 30, et vingt-quatre pour 33 - ce qui rejoint la fourchette évoquée ci-dessus. » ; Raymond E. Brown, La mort du Messie (trad. de l'anglais), éd. Bayard 2005, (éd. orig. 1994), p. 1512
↑Simon Claude Mimouni et Pierre Maraval, Le christianisme des origines à Constantin, Paris, éd. P.U.F./Nouvelle Clio, 2007, p. 188
↑Simon Claude Mimouni, Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère : Des prêtres aux rabbins, éd. P.u.f./Nouvelle Clio, 2012, p. 407
↑Simon Claude Mimouni, Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère : Des prêtres aux rabbins, éd. P.u.f./Nouvelle Clio, 2012, p. 122