Marqué par une écriture heurtée[2], son recueil À distance des corps (2010) montre pour Antoine Emaz que « la simplicité n'exclut pas la profondeur »[3].
En 2018, Tram-epropose « quatre méditations »[4] ; James Sacré, qui croit y déceler le sème de la « déchirure », voit là l'« affirmation de la continuité [...] d'une vie d'écriture dans sa forte présence »[5].
Ouvrages
Le Psaltérion à dix cordes, Bourg-la-Reine, Mille et un jours, 1997 (BNF36186188).
T.V. : série, Chaillé-sous-les-Ormeaux, Le Dé bleu, 2003 (ISBN2-84031-162-3).