Beaucoup de ses œuvres, où il est ressenti « un papillonnement de lumière colorée, des toiles rayonnantes de vitalité »[4], se trouvent dans les collections des bureaux officiels (ministères, préfectures, hôtels de ville)[3].
Réception critique
« Sur des préparations au vermillon, il reprend à l'atelier les pochades du plein-air. Il ne stylise pas comme Cézanne, il livre à chaud son émotion ; renonçant bientôt à l'atelier, il peint directement sur nature : un art franc et net qui ne s'est jamais évadé de l'Impressionnisme ; sans les imiter, Wilder fait spontanément du Sisley ou du Maufra, un peintre qu'il admire beaucoup après sa rencontre à Trebeurden en 1895. » - Gérald Schurr[3]