Inéligible à la Libération, et exclu de la SFIO, il tente de se relancer dans la vie politique en se présentant aux élections municipales de Toulouse en 1959 sur une liste de d'Union pour la défense des intérêts communaux. Battu, il décède moins de deux ans plus tard.
Sources
« André David (homme politique) », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition]