Moi quelque part…, 1920, Bruxelles, Édition de la soupente
Histoire d’une Marie, 1921, Paris, éditions Rieder
En sabots, 1922, Paris, éditions Rieder (prix de La Renaissance 1923[4]) réédition : l'Ether vague (Toulouse 1987)
Zonzon Pépette: fille de Londres, 1923, Paris, J. Ferenczi, réédité en 2006, 2015 aux Éditions Cent Pages, Grenoble[5] et 2018 aux éditions Cambourakis, Paris[6]
Périer (Gaston-Denys), André Baillon : monographie. Bruxelles : Le Thyrse, 1931, 37 p.
Robert Van Nuffel, « Baillon (André-Émile-Louis) », dans Biographie nationale, t. XXXIII, Bruxelles, Établissements Émile Bruylant, (lire en ligne), col. 52-57.
Marie de Vivier « Un homme total : André Baillon », dans : La momie chante, no 4, Bruxelles, , p. 2.
Laroche (Daniel), dir., André Baillon le précurseur, numéro spécial de Textyles, (Bruxelles), no 6, 1989. [lire en ligne]
Denissen (Frans), De Gigolo van Irma Ideaal : André Baillon, of een geschreven leven. Amsterdam : Prometheus, 1998, 315 p., index, phot.
Tshibanda Wamuela Bujitu (Pie), André Baillon : le Belge de Marly. Bruxelles : Luc Pire, coll. Espace Nord, 2009, 124 p. - (ISBN978-2-507-00170-4).
Maria Chiara Gnocchi, « Les malédictions d’André Baillon », revue Textyles n°53, 2018 [lire en ligne]