Grand propriétaire dans l'Hérault, il est élu membre de la Chambre des députés le .
Légitimiste ardent, il se prononce pour le remboursement et la réduction des rentes 5 % ; pour l'indemnité aux émigrés ; pour la loi du sacrilège ; pour la loi concernant l'entrepôt des grains ; pour les lois supprimant la liberté de la presse, etc.
Réélu par le même collège électoral le , il continue de soutenir les doctrines qu'il avait défendues sous le ministère Villèle.
Réélu une nouvelle fois, le , il renonce à la politique au moment de la Révolution de juillet.
Famille
Il épouse Marie Jeanne Clémence de Faventines-Montredon (1788-1860)[1] avec qui il a plusieurs enfants dont :