Cet amendement du code forestier brésilien (projet de loi 1.876/99) a été proposé et a été approuvé par les deux chambres du Parlement du Brésil.
La présidente du Brésil, Dilma Rousseff a mis son veto contre des parties de celui-ci[1]. Les écologistes s'opposent à la loi, en disant qu'elle aggrave la destruction de la forêt amazonienne[1]. Elle aurait ouvert pour l'agriculture des zones défrichées illégalement avant [1]. L'abattage de ces forêts humides aurait pour effet l'émission de 400 millions de tonnes de dioxyde de carbone[2].