Au cours d'une audience plénière tenue le , la Commission de contrôle recommanda l'interdiction totale: « Le film est consacré à la mise en scène de l’homosexualité et à sa propagande. Le climat morbide dans l’ensemble et les scènes très réalistes entre les 2 femmes, font obstacle à la présentation au public de cette production »[1].
Christophe Bier, Censure-moi. Histoire du classement X en France, L'Esprit frappeur, 2000, p. 23
Références
↑Laurent Garreau, « Chapitre I. Interdire pour un jour... libérer (1961-1971) », dans Archives secrètes du cinéma français (1945-1975), Presses Universitaires de France, coll. « Perspectives critiques », , 153–243 p. (ISBN978-2-13-057486-6, lire en ligne)