En 1900, il est nommé professeur de la classe du modèle vivant à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon. Il démission en 1918 en raison d'une liaison avec une de ses élèves.
Avec son épouse Jeanne Bonnardel, également artiste peintre, ils demeurent rue Pierre Dupont à Saint-Cyr-au-Mont-d'Or[1]. Il peint des portraits et des scènes de genre, et produit des gravures sur le thème de Guignol, Gnafron et Madelon, ainsi que des décors pour le théâtre de Guignol, représentant des places de la ville de Lyon dont une des plus célèbres, la place de la Trinité.
Guy Valarcher, « Alexandre François Bonnardel », Les Amis de Lyon et de Guignol, no 250, .
Patrice Béghain, Bruno Benoit, Gérard Corneloup et Bruno Thévenon, Dictionnaire historique de Lyon (Dictionnaire), Lyon, Éditions Stéphane Bachès, , 1504 p. (ISBN978-2-915266-65-8).
Vincent Repellin, Alexandre-François Bonnardel (Lyon, 1867-1942), mémoire de maîtrise, .
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