Il exerce à Saanen, dans le canton de Berne, à partir de 1855 ; à la paroisse allemande d'Yverdon, dans le canton de Vaud, à partir de 1862, et à Radelfingen, à nouveau dans le canton de Berne, à partir de 1868. Il prend sa retraite à Berne en 1891[1].
Recherches linguistiques et botanique
Outre sa charge, il se consacre à partir de 1872 avec sa femme à l'héritage littéraire de son beau-père et vient à s'occuper ainsi de recherches linguistiques[1].
Il s'intéresse aussi tout particulièrement à la botanique, livrant d'importantes contributions sur le canton de Berne. Il est un expert des plantes fourragières des Alpes[1].
Cet article est partiellement ou en totalité issu de la page « Albert von Rütte » de Luc Lienhard (trad. : Laurence Margairaz Dewarrat), le texte ayant été placé par l’auteur ou le responsable de publication sous la licence Creative Commons paternité partage à l'identique ou une licence compatible.