En 1877, il décide d'y exhiber des humains exotiques (voir « zoo humain ») obtenant un succès notable puisque cinq ans plus tard, 400 000 visiteurs étaient venus voir un groupe d'Indiens Galibis de Guyane[pas clair].
Il crée en 1881 la société Le Gros Pin à Hyères, dans le but de gérer des jardins d'acclimatation dont ceux de Marseille et de Hyères. Cette société, dont les terrains jouxtent le parc Olbius Riquier, est alors parmi les premières entreprises d'horticulture spécialisée dans la production et la commercialisation de palmiers, aux côtés de la société de l'acclimateur hyérois Charles Huber. Cette société joue un rôle important, notamment dans l'acclimatation des palmiers et des acacias[1].
Pour le jardin d'acclimatation du Bois de Boulogne, Albert Geoffroy Saint-Hilaire sollicite et obtient, en 1883, l'autorisation du conseil municipal de Paris de faire ériger une construction provisoire en vue de la présentation d'un panorama relatif à l'histoire naturelle[2]. Le bâtiment dit « Panorama du jardin de l'acclimatation » est inauguré le avec l'exposition de la toile circulaire monumentale intitulée Le Monde antédiluvien, conçue par le panoramisteCharles Castellani »[3] (1838-1913). Le pavillon et la toile sont anénantis dans un incendie le [4].