Représentatif du mouvement du pointillisme, Albert Dubois-Pillet débat avec eux de la peinture, de la couleur. Jules Christophe écrit : « Dubois-Pillet ne se voua à la technique nouvelle (division du ton, mélange des couleurs sur la rétine) qu'en 1887, après la scandaleuse (on m'entend) manifestation de Georges Seurat… Mais, depuis ce moment, toujours en éveil, inquiet, il cherche, il cherche, il chemine, courageux, plus, aventureux, vers la muse Certitude, avec, sous le bras, la traduction de la Théorie des Couleurs de Sir O. N. Rood, professeur de physique à New York. Et ses investigations dans cette bible l'ont conduit à une division du ton plus affinée encore[2]. »
Le , il est muté au Puy-en-Velay en qualité de chef d'escadron. Il est le nouveau commandant de la gendarmerie de la Haute-Loire[3].
Après avoir occupé un atelier au 19, quai Saint-Michel à Paris, il dispose de son dernier atelier au Puy[4].
Albert Dubois-Pillet meurt le de la variole à l'hôpital mixte du Puy.