Alain Macle est le cadet d’une famille de 5 enfants[2]. La famille habite aux Rousses et un de ses frères est moniteur de ski[3].
Alain Macle pratique le ski alpin dès son plus jeune âge et il pratique la descente en compétition chez les minimes et cadets avant de s’orienter vers le saut[2].
En 1962, il intègre l’équipe de France de saut à ski et il devient cette année-là champion de France à La Bresse[4]. Il se classe deuxième des championnats de France en 1963, 1964 et 1965[3].
En janvier 1966, il participe aux championnats d'Europe de saut à ski en Italie où il réalise 93 m et 97 m[3].
Il participe à ses premiers championnats du monde en 1966 à Holmenkollen en Norvège[4]. Il se classe 47e et 57e.
Il participe aux Jeux olympiques d'hiver de 1968 de Grenoble où il se classe 17e sur le tremplin de 70 m et 18e sur le tremplin de 90 m[4]. L'hiver suivant, il établit un nouveau record de France avec un saut de 136 m lors d'une compétition en Norvège[4]. En 1972, il participe à nouveau aux Jeux olympiques[4]. Il s'agit de sa dernière compétition internationale[4].
Vie professionnelle
En 1972, Alain Macle épouse Dominique Schiavon[4]. Leur fille unique, Sophie est également née en 1972[4].
Dans le milieu des années 70, Alain Macle participe à l'élaboration des tremplins des Tuffes[4].
Ensuite, lui et sa femme s'installent à Métabief et le couple gère un restaurant pendant une vingtaine d'années[4]. Il meurt en 2020 d'une maladie pulmonaire[4].