Alain Gauvin

Alain Gauvin
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Nationalité
Activité

Alain Gauvin est docteur en droit et avocat d'affaires français, confĂ©rencier et auteur. Il est spĂ©cialisĂ© dans les secteurs bancaire et les marchĂ©s de capitaux d'Afrique du Nord (et notamment du Maroc), principalement en matière de rĂ©glementation bancaire dans cette rĂ©gion[1]. Selon son Ă©diteur (Editions Milelli), « il intervient notamment dans la structuration d'instruments financiers, de fonds d'investissements, le financement et la restructuration de dettes Â». Il a conseillĂ© diverses entitĂ©s dĂ©cisionnaires sur les aspects juridiques inhĂ©rents Ă  la structuration de nouveaux instruments bancaires et financiers[1].

Carrière

En 1995, Alain Gauvin entame une carrière d'avocat d'affaires, travaillant durant 5 ans sur les marchĂ©s de capitaux chez Freshfields Bruckhaus Deringer[1]. En mai 2000, il rejoint la succursale parisienne du cabinet d'avocat amĂ©ricain Coudert Brothers (en)[1].

En 2004, il prête serment (le 15 décembre) et entre dans l'Association du Barreau de Paris.

Ă€ partir d'octobre 2007 et pour 12 ans, il dirige les bureaux algĂ©rien et marocain de la Direction bancaire & financière du Cabinet Lefebvre-Pelletier (cabinet d'avocats aussi connu par l'acronyme LPA-CGR)[1].

En juin 2011, il fait partie des experts auprès de la Banque mondiale[2].

En 2019, le journal Jeune Afrique le place dans la liste des 50 avocats les plus influents en Afrique[3].
En 2019/2020, avec sa consĹ“ur Kawtar Raji-Briand (par ailleurs prĂ©sidente du comitĂ© juridique de l'ASMEX), il quitte LPA pour rejoindre ASAFO & CO[3], un cabinet dirigĂ© par Pascal Agboybor et prĂ©sent (en 2021) Ă  Abidjan, Casablanca, Johannesbourg, Mombasa et Nairobi mais aussi Ă  Paris, Londres et Washington, cabinet qu'Alain Gauvin prĂ©sente comme « panafricain Â»[4]. Il y est introduit en tant que 27e « associĂ© Â»[1], dont pour son expĂ©rience « en rĂ©glementation bancaire et financière et en matière de fonds, ainsi que son expertise sur les produits dĂ©rivĂ©s et instruments de transfert de risque Â» (selon Pascal Agboyibor)[3]. Il y encadre « une Ă©quipe multi-juridictionnelle Â»[5]. Cette Ă©quipe conseille en Afrique et en Europe, « une clientèle composĂ©e d'États, de banques et d'agences de dĂ©veloppement, d'autoritĂ©s administratives d'Ă©tablissements financiers Â» et cherche Ă  se dĂ©velopper dans l'Union Ă©conomique et monĂ©taire ouest-africaine (UEMOA)[3] dans les domaines de la Banque et de l'assurance, la Finance et les FinTechs, les MarchĂ©s des capitaux et d'emprunts souverains[5]. Plus prĂ©cisĂ©ment, selon DĂ©cideurs Magazine (2020) il peut rĂ©diger des lois et règlements, mettre en place des rĂ©formes bancaires et financières ou y rĂ©pondre, structurer des instruments d'investissement, de financement, de couverture ou d'amĂ©lioration de ratios prudentiels)[6]. Pour ses clients il peut aussi crĂ©er des fonds d'investissement, de titrisation et d'assurance alternative (…) ou des Ă©tablissements financiers et/ou les accompagner dans leurs relations avec les autoritĂ©s de tutelle (agrĂ©ments, inspections et procĂ©dures disciplinaires)[6].

En mars 2020, il crĂ©e la sociĂ©tĂ© « Alain Gauvin Avocat Â», basĂ©e Ă  Paris 8 sur l'avenue des Champs-ÉlysĂ©es[7],[8].

En septembre 2022, après les dĂ©placements d'Emmanuel Macron au Cameroun, au BĂ©nin et en GuinĂ©e-Bissau (du 25 au 28 juillet 2022), dans une tribune publiĂ©e par Le Monde il alerte sur le fait qu'une proposition de directive europĂ©enne (« directive CRD VI Â»)[9] pourrait selon lui mettre en danger le partenariat Afrique-Europe et l'agenda prĂ©sentĂ© en novembre 2017 Ă  Ouagadougou sur la relation Afrique-France, en empĂŞchant les banques africaines d'offrir leurs services Ă  leur clients de la diaspora africaine rĂ©sidant dans l'UE[10]. Il soutient une proposition de Directive europĂ©enne pour les pays tiers de l'UE qui permettrait les transferts de l'UE vers l'Afrique via des banques africaines. Il commente le projet de Directive CRD6 (pour Capital Requirements Directive VI)[11], dont une première version a Ă©tĂ© proposĂ©e en novembre 2021 par la Commission europĂ©enne en notant qu'elle permet aux banques Ă©trangères d'opĂ©rer en Europe, mais Ă  condition, notamment, d'avoir une prĂ©sence physique, c'est-Ă -dire d'ouvrir une succursale, pour opĂ©rer dans un pays europĂ©en, ou passer par une filiale si elles souhaitent obtenir le « passeport europĂ©en Â»[12] qui permet aux banques et autres Ă©tablissements financiers agrĂ©Ă©s d’accĂ©der au marchĂ© unique europĂ©en (448 millions de personnes environ)[13].

Enseignements

Alain Gauvin a enseigné à la faculté de droit de Paris et à l'université internationale de Rabat[2].

Travail avec le Maroc et l'Afrique

En 2019, Alain Gauvin, qui a conseillĂ© le Maroc[14], se fĂ©licite que via une loi OPCI, le royaume du Maroc ait fortement encouragĂ© les « FPCT Â» (« fonds de placements collectifs en titrisation)[15],[16].

Avec Kawtar Raji[17], Alain Gauvin co-publie aux Ă©ditions Revue Banque un ouvrage intitulĂ© « Droit bancaire et financier marocain Â». Ce livre est publiĂ© avec sa collègue avocate d'affaires Ă  Casablanca Kawtar Raji-Briand, et prĂ©facĂ© par Lhassane Benhalima (ancien Directeur de la Supervision Bancaire de Bank Al-Maghrib ou BAM, puis Directeur gĂ©nĂ©ral au Maroc de la SociĂ©tĂ© gestionnaire des fonds de garantie des dĂ©pĂ´ts bancaires) et par Dominique Strauss-Kahn. Ce dernier, avec le poids que lui donnent ses anciennes fonctions de prĂ©sident du FMI, y promeut vivement le système bancaire marocain : « le dynamisme du secteur bancaire marocain, Ă©crit-il, illustre le rĂ´le moteur que l'Ă©conomie marocaine joue dans la rĂ©gion. En effet, les banques marocaines sont maintenant conquĂ©rantes. Elles ne le sont pas seulement en Afrique oĂą deux d'entre elles ont remplacĂ© les banques françaises, mais Ă©galement en Europe et ailleurs pour accompagner les grands groupes marocains ou internationaux dans le dĂ©veloppement de leurs projets et aussi pour servir les Marocains qui y rĂ©sident. Cette ambition dĂ©coule d'une volontĂ© affirmĂ©e, au plus haut niveau, de faire du Royaume une place financière rĂ©gionale (...) beaucoup craignaient alors qu'un tsunami islamo-bancaire en provenance de l'Ă©tranger emporte les banques conventionnelles pourtant bien installĂ©s. Bien au contraire, par sa gestion avisĂ©e, la Banque centrale du Maroc a su maĂ®triser la crĂ©ation de ces banques, parvenant Ă  faire du Maroc l'un des rares pays dans le monde oĂą cohabitent, avec harmonie, banques islamiques et banques conventionnelles Â».

Le royaume du Maroc, conseillé par Dominique Strauss-Kahn et Alain Gauvin (selon des documents étudiés par Cash Investigation dans le cadre des Pandora Papers)[14], a décidé d'encourager ses ressortissants à l'étranger, par exemple au moment des vacances d'été, à déposer de l'argent dans des banques et sociétés d'épargne et de crédits au pays.
Il a pour cela crĂ©Ă© une seconde (il existait dĂ©jĂ  Tanger) place financière très attractive pour les capitaux Ă©trangers ou de la diaspora : la zone franche dite Casablanca Finance City[4], bien que la zone financière offshore (Tanger, crĂ©e par la loi 58-90 abritait dĂ©jĂ  plusieurs banques et sociĂ©tĂ©s de gestion. Cette place financière Ă©tait si opaque et favorable Ă  l'Ă©vasion fiscale qu'elle a en 2017 justifiĂ© l'inscription du Maroc dans la liste grise des paradis fiscaux de l'Union europĂ©enne[18].

En 2022, Ă  propos du Maroc et de sa rĂ©glementation des changes, interrogĂ© par le journal Les ÉCO du Maroc, Alain Gauvin dit qu'« il est compliquĂ© pour un État de nourrir l'ambition d'ĂŞtre une place financière rĂ©gionale, voire internationale, et plus encore, de concrĂ©tiser cette ambition, tant que subsiste une rĂ©glementation des changes Â» (qui selon lui) est « anxiogène Â» pour les investisseurs Ă©trangers[19].

En 2020, Financial Afrik le présente aussi comme conseiller extérieur de la Banque mondiale et de la Banque africaine de développement et comme conseiller de banques étrangères quant à leur présence dans l'UE[20].

Bi-bancarisation

Le contexte migratoire mondial du dĂ©but du XXIe siècle est celui d'une nouvelle accĂ©lĂ©ration des migrations (africaines notamment). Dans le mĂŞme temps la double rĂ©volution de la tĂ©lĂ©phonie portable et du Web 2.0 permet Ă  la diaspora d'accroĂ®tre la quantitĂ© d'argent transfĂ©rĂ©e vers le pays d'origine. Alain Gauvin, constate que cet argent, essentiellement transfĂ©rĂ© vers les familles, argent qui est une « manne financière Â» dĂ©passant celles de l'aide publique au dĂ©veloppement, pourrait aussi ĂŞtre bancarisĂ© et servir Ă  financer des investissements Ă©conomiques plus importants. Il affirme que les diasporas (diaspora africaine notamment) bĂ©nĂ©ficieraient considĂ©rablement d'une autorisation de bi-bancarisation associĂ©e Ă  de faibles taxes de change, c'est-Ă -dire de la possibilitĂ© qu'un Ă©migrĂ© puisse avoir deux comptes, l'un dans son pays d'origine, et l'autre dans son pays d'accueil, permettant des transferts d'argents faciles, rapides et peu coĂ»teux pour lui[4]. Il plaide pour une « une directive d'harmonisation des lĂ©gislations nationales ou, mieux, un règlement d’application immĂ©diate et impĂ©rative dans tous ses termes. Â»[21], mais dĂ©but 2023, il n'est pas inscrit au registre europĂ©en des lobbyste[22].

Avec son nouveau partenaire Pascal Agboyibor (avocat d'affaires franco-togolais), Alain Gauvin est prĂ©sentĂ© comme pionnier, avec en France la dĂ©putĂ©e Sira Sylla, du soutien Ă  l'idĂ©e de bibancarisation « comme instrument de financement des pays en voie de dĂ©veloppement et comme facteur favorisant l'implication des diasporas dans les relations Nord-Sud Â». L'un de leurs arguments est qu'un tel cadre lĂ©gal facilitant ces transferts utiles au dĂ©veloppement Ă©conomique des pays du Sud, se substituerait aux flux opaques passant par des sociĂ©tĂ©s de transferts d'argent ou par des filières cachĂ©es et/ou illĂ©gales susceptible de blanchir de l'argent ou de financer le terrorisme[4].

D'autres (comme Meissa M Lo, consultant en finance de marchĂ©, interviewĂ© par Financial Afrik le 3 aoĂ»t 2020), pensent que la bi-bancarisation, pourrait inversement permettre Ă  des banques du Nord de capter une partie de ces fonds lors de leurs conseils Ă  la diaspora[23]. Selon lui, la direction de flux d'argent pourrait ainsi parfois s'inverser et augmenter les fuites de capitaux du sud vers le nord, ou vers des paradis fiscaux, ce dont l'Afrique souffre dĂ©jĂ [23]. Il deviendrait « facile pour quelqu'un ayant un ami ou proche Ă  l'Ă©tranger de sortir des capitaux importants et les placer Ă  l'Ă©tranger dans un objectif de blanchiment ou placement dans les paradis fiscaux Â», au dĂ©triment des gens et de l'Ă©conomie africaine, expliquait-t-il[23].

Pandora Papers

En 2019, les noms d'Alain Gauvin et de son agence d'avocats apparaissent dans les Pandora Papers.

En 2021, selon une enquĂŞte de l'ICIJ et de Cash Investigation, en partie basĂ©e sur ces Pandora Papers, de 2012 Ă  2013, Alain Gauvin et le cabinet d'avocat LPA (Cabinet Lefebvre-Pelletier et associĂ©s) ont accompagnĂ© Dominique Strauss-Kahn (DSK), alors directeur du Fonds monĂ©taire international, pour conseiller le royaume du Maroc sur sa lĂ©gislation bancaire et financière, et pour la crĂ©ation d'une zone franche et place financière dite « Casablanca Finance City Â». Selon l'un des documents des Pandora Papers, le Cabinet Lefebvre-Pelletier (LPA-CGR) a touchĂ© plus d'un million d'euros de rĂ©trocession d'honoraires pour ce travail[14]. Et, c'est dans ce nouveau paradis fiscal, qu'après ses dĂ©boires avec la justice amĂ©ricaine et française, D. Strauss-Kahn a dĂ©clarĂ© sa sociĂ©tĂ© Parnasse international, crĂ©Ă© alors qu'il Ă©tait encore rĂ©sident français[14].
Les documents Ă©tudiĂ©s pour l'ICIJ par Cash Investigation, montrent que DSK a ainsi Ă©vitĂ© de payer 800 000 euros d'impĂ´t sur les sociĂ©tĂ©s en France, tout en Ă©tant pour sa sociĂ©tĂ©, au Maroc, totalement dĂ©fiscalisĂ© pour 5 ans après l'inscription[14], ceci au dĂ©triment des TrĂ©sors des États français et marocain. Selon Cash Investigation, après cette pĂ©riode de 5 ans, DSK a choisi de crĂ©er une autre sociĂ©tĂ© (Parnasse global limited, basĂ©e cette fois dans un paradis fiscal considĂ©rĂ© parmi les plus opaques de la planète (Ras el KhaĂŻmah[14] (et dĂ©jĂ  au cĹ“ur de l’affaire des « DubaĂŻ Papers Â»[18], aux Émirats arabes unis… bien que ce territoire, comme tous les Ă©mirats soient supposĂ©s respecter le droit et des lois basĂ©es sur la Charia qui interdit la spĂ©culation financière). En 2021, la journaliste Élise Lucet montre aussi que DSK a presque rĂ©ussi Ă  monter dans un pays africain pauvre une banque qui aurait proposĂ© des cartes bleues anonymes prĂ©payĂ©es, lesquelles auraient rendu extrĂŞmement facile l'exil fiscal, le blanchiment d'argent et les transferts d'argent sale du sud vers des banques du Nord ou de paradis fiscaux. Cette opĂ©ration a Ă©chouĂ© en raison de la reprise de conflits armĂ©s dans le pays[14].

Vie privée

Alain Gauvin vit et travaille Ă  Paris et Ă  Casablanca[rĂ©f. souhaitĂ©e].

Publications

  • La nouvelle gestion du risque financier, Paris, LGDJ, coll. Â« Systèmes : droit privĂ© Â», , 244 p. (ISBN 2-275-01861-1).
  • Droit des dĂ©rivĂ©s de crĂ©dit, Paris, Revue Banque, coll. Â« Droit fiscalitĂ© Â», , 446 p. (ISBN 2-86325-379-4).
  • Crise financière : et la "veuve de Carpentras" dans tout ça ?, Milelli, , 135 p. (ISBN 978-2-916590-20-2).
  • Droit bancaire et financier marocain, Livre 1 - Droit bancaire marocain, prĂ©facĂ© par Kawtar Raji-Briand, Ă©d. Revue Banque, 2021.

Notes et références

  1. ↑ a b c d e et f « Alain Gauvin devient le 27e associĂ© d'Asafo & Co Â», sur www.lja.fr (consultĂ© le ).
  2. ↑ a et b « Alain Gauvin Â», sur www.revue-banque.fr (consultĂ© le ).
  3. ↑ a b c et d « Alain Gauvin et Kawtar Raji-Briand rejoignent le cabinet Asafo & Co. Â», sur La Nouvelle Tribune, (consultĂ© le ).
  4. ↑ a b c et d RĂ©daction, « Alain Gauvin : « Pourquoi la bi-bancarisation peut rĂ©gĂ©nĂ©rer notre relation avec l'Afrique Â» | Business & Finance International Â», (consultĂ© le ).
  5. ↑ a et b (en-US) « Alain Gauvin – ASAFO & CO. Â»(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consultĂ© le ).
  6. ↑ a et b « Asafo & Co se renforce en finance Â», sur magazine-decideurs.com (consultĂ© le ).
  7. ↑ [1], Annuaire français/Pages jaunes/Siret
  8. ↑ « Alain Gauvin, avocat Ă  Paris 8 (88265100300015) (sur LesBilans.com Entreprise) Â»(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lesbilans.com (consultĂ© le ).
  9. ↑ Ici CDR signifie Capital Requirements Directive VI
  10. ↑ « La diaspora africaine est un acteur essentiel du dĂ©veloppement Ă©conomique et social de l'Afrique Â», sur Le Monde.fr, (consultĂ© le ).
  11. ↑ « La Directive introduit par ailleurs un nouveau rĂ©gime prudentiel applicable aux succursales de pays tiers (SPT), qui est actuellement dĂ©fini par chaque État membre. Pour mettre fin Ă  cette complexitĂ© et Ă©viter l’arbitrage rĂ©glementaire, la Directive introduit un cadre harmonisĂ© d’exigences minimales pour les SPT, en crĂ©ant deux catĂ©gories d’entitĂ©s et en donnant la possibilitĂ© aux autoritĂ©s compĂ©tentes d’exiger que les SPT systĂ©miques soient transformĂ©es en filiales, qui seraient ainsi pleinement soumises Ă  CRR/CRD. Â» in Banque de France (ACPR), « Paquet bancaire CRR3/CRD6 : de nouvelles règles pour renforcer la rĂ©silience des banques europĂ©ennes (PDF, 743.32 Ko) Â», sur Banque de France, (consultĂ© le ).
  12. ↑ Anthony Aranda Vasquez, « Les PSAN peuvent-ils bĂ©nĂ©ficier du passeport europĂ©en ? (PSAN : prestataires de services sur actifs numĂ©riques) Â», sur Actu-Juridique, (consultĂ© le ).
  13. ↑ Le Courrier de l'Atlas, « confĂ©rence sur « La proposition de directive bancaires CRDVI et Banques Ă©trangères Â» Ă  l’Automobile Club de France ; Banques : Une directive europĂ©enne pour les pays tiers de l'UE Â», (consultĂ© le ).
  14. ↑ a b c d e f et g « Cash Investigation EnquĂŞte sur un homme d'influence Â», (consultĂ© le ).
  15. ↑ « OPCI et FPCT : Concurrents ou complĂ©mentaires ? Â», sur La Nouvelle Tribune, (consultĂ© le ).
  16. ↑ Il faut se rĂ©jouir de la qualitĂ© des autoritĂ©s bancaires et financières au Maroc ; La Vie Eco ; 19 juillet 2019
  17. ↑ En 2020, Kawtar Raji-Briand est avocate au Barreau de Casablanca, auteure et confĂ©rencière, spĂ©cialiste du droit bancaire et financier, et de la finance islamique ; ex-membre du ComitĂ© ALECA (avec UE) de la CGEM (patronat marocain) et prĂ©sidente de la Commission juridique de l'ASMEX (Association marocaine des exportateurs). Elle travaille pour des clients situĂ©s au Maroc, en AlgĂ©rie et en France
  18. ↑ a et b « EnquĂŞte - Pandora Papers : la nouvelle sociĂ©tĂ© de DSK est basĂ©e dans un paradis fiscal Â», sur France Bleu, (consultĂ© le ).
  19. ↑ « On a beau convaincre un investisseur Ă©tranger de ce que la rĂ©glementation des changes marocaine est libĂ©rale et son application cohĂ©rente, le seul fait de l'existence d'une rĂ©glementation des changes est anxiogène Â» in Abdellah Benahmed, « Alain Gauvin : “La rĂ©glementation financière marocaine est en avance Ă  bien des Ă©gards” Â», sur LesEco.ma, (consultĂ© le ).
  20. ↑ Financial Afrik, « Bi-bancarisation: moteur de croissance Ă©conomique Nord-sud ? (positionner le curseur sur 1:29 ou voir le texte de prĂ©sentation sous la vidĂ©o) Â», (consultĂ© le ).
  21. ↑ « Interview Alain Gauvin « La bi-bancarisation peut ĂŞtre un des instruments de l’existence symbiotique de l’UE et de l’UA Â» – Africa News Agency (ANA) Â», (consultĂ© le ).
  22. ↑ « Registre des reprĂ©sentants d'intĂ©rĂŞts Â», sur ec.europa.eu (consultĂ© le ).
  23. ↑ a b et c Contribution, « [Tribune] Fuite de capitaux et blanchiment d'argent: interrogations sur la bi-bancarisation Â», sur Financial Afrik, (consultĂ© le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes