C'est sous son règne que le pouvoir Rassoulides connu son expansion maximale[2]. Il développa la flotte afin de devenir une puissance maritime influente dans la mer rouge et contrôlé le commerce avec l'Inde[3]. Il développa par ailleurs l’administration notamment fiscale permettant au sultanat de s'enrichir. Il meurt en 1295 en laissant le pouvoir à son fils Al-Ashraf Umar II (1295-1296).
Références
↑(en) Daniel Martin Varisco, « Texts and Pretexts : the Unity of the Rasulid State under al-Malik al-Muzaffar », Revue du monde musulman et de la Méditerranée, no 67, , p. 13—24 (lire en ligne)
↑Mohammed Abdelrahim Jazem et Brigitte Marino, « Nur al-Din et al-Muzaffar : la construction de l’État rasoulide au Yémen », Arabian Humanities. Revue internationale d’archéologie et de sciences sociales sur la péninsule Arabique/International Journal of Archaeology and Social Sciences in the Arabian Peninsula, (ISSN1248-0568, DOI10.4000/cy.104, lire en ligne, consulté le )
↑Éric Vallet, L’Arabie marchande: État et commerce sous les sultans rasūlides du Yémen (626-858/1229-1454), Publications de la Sorbonne, (ISBN9782859446376, lire en ligne)