En 1815, il apprend le système Taylor adapté par Bertin au français, se mettant ensuite à pratiquer celui de Conen de Prépean selon l'édition de 1817, c'est-à-dire en croisant les signes pour les différencier.
En 1820, après avoir inventé sa propre méthode de sténographie, il abandonne sa carrière d'avocat et parcourt les départements français, ainsi que les Pays-Bas, la Belgique et la Suisse, en donnant des conférences et en enseignant son système.
Il est l'auteur des livres Histoire de la Sténographie et Inventions d'Aimé Paris.
Il est également actif dans le domaine de la mnémotechnie et publie plusieurs ouvrages à ce sujet.
Grâce à son système de sténographie, Aimé Paris permet le traitement simultané des lettres aux chiffres et vice-versa pour générer des règles mnémoniques et d'autres éléments qui peuvent améliorer la mémoire et l'apprentissage.
Son modèle est comme suit :
Chiffres
Lettres
0
c, s, z
1
d, t
2
n
3
m
4
r
5
l
6
g, j
7
c, k
8
f, v
9
b, p
La façon dont les caractères numériques associées à la phonétique des lettres est par la ressemblance que, par écrit, sont les nombres associés aux lettres. Les voyelles sont exclues.
Ainsi, à titre d'exemple, le mot «VaLiSe» serait 850 et le nombre 302 allait devenir « MéCèNe ».
Bibliographie
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